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Taweret
Isobel Sklazaud
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Mourn
Mental Mourn est quelqu'un de très sauvage. Il n'a absolument pas le comportement social, l'attitude morale attendues dans la société actuelle. C'est un esprit libre, qui n'a pas accepté la servitude qu'on a voulue lui imposer. Il est agressif beaucoup plus envers les vampires que le reste du monde. Mais il n'en reste pas moins tel qu'il est : sa colère explose parfois quand on s'y attend le moins, il est tout le temps révolté contre beaucoup de choses et il le fait savoir que ça soit par sa parole ou par ses actes. Il est aussi très méfiant, il ne donne que très difficilement sa confiance à autrui. Il est prudent dans ses relations avec les autres. Mais si vous passez cette méfiance, Mourn sera quelqu'un de très fidèle en amitié. Mourn est un idéaliste, il croit et obéit à ses propres règles qui le guident chaque jour sur la route qu'il s'est choisie. Chacune de ses actions est dévouée à sa cause anti-esclavagiste (et anti-vampire). Cet idéalisme montre aussi que ce dernier est quelqu'un de passionné. Quand quelque chose lui tient à cœur, il s'y donne à fond sans cacher son plaisir. Il dévoile à ses occasions la violence de ses sentiments pour ce/ceux qu'il aime. Un autre trait de caractère qui est remarquable chez lui est son intrépidité. Rien ne l'arrête et il n'a peur de rien. Quand il doit faire quelque chose, il le fera, ne réfléchissant pas particulièrement aux dangers qui l'attendent. Mais sous sa façade de mec qui en veut, Mourn est bien plus sombre. Il fait énormément de cauchemars sur son ancienne vie d'esclave. D'ailleurs, c'est pour cela qu'il rechigne la plupart du temps à aller dormir. Mais malheureusement pour lui, il lui arrive, même éveillé de revivre ce que son tortionnaire lui faisait subir. Dans ses moments là, il devient un peu plus agressif et il vaut mieux le laisser tranquille. Physique Mourn n'est ni petit ni grand, il a une taille tout à fait moyenne pour un humain lambda. Il n'a pas une musculature imposante, comme certains peuvent avoir, mais cela ne signifie pas que ce dernier est faible. Ses années de vie clandestine lui ont forgé un physique svelte et athlétique. Il est très éloigné de ses esclaves de salon, tout juste bon à arborer des muscles sculpturaux, mais totalement inutiles. Les siens sont faits pour la survie. L'ancien esclave à une démarche assurée, quand on le voit se déplacer, personne n'a envie de se mettre en travers de son chemin. Il sait s'imposer simplement avec ses mouvements. Il marche toujours d'un pas décidé. Si on s'intéresse à son visage, certains pourraient dire qu'il est plutôt beau. Fin, les yeux vifs d'une couleur grise indéfinissable semblant parfois tirer sur le violet, les cheveux d'un blond presque blanc, moyennement long et toujours en bataille et la peau assez hâlée. Certains disent qu'il est plutôt agréable à regarder. Mais ces derniers font partie de ceux qui arrivent sans aucun doute à faire abstraction de l'horrible cicatrice qui part de son œil droit et descend vers son menton en creusant un disgracieux sillon. D'ailleurs, ce n'est pas la seule cicatrice qui orne son corps. Plusieurs autres, bien plus petites, agrémentent de manière sinistre d'autres parties de son anatomie, mais celles qui laissent la plus forte impression, quand on a la malchance de les apercevoir, sont celles de son dos. Ce dernier est lacéré de nombreux coups de fouet. Sa peau, maintenant refermée, est marquée de manière indélébile par des boursouflures impossibles à cacher dues à la mauvaise cicatrisation de ses plaies. Histoire EXTRAIT DU JOURNAL DE MOURN JOUR 1 J'écris ce journal au premier jour de ma renaissance. J'écris ce journal comme manifeste de mes actions futures. Je n'existe plus depuis quelques années maintenant. Je suis mort le jour où des vampires ont attaqué notre campement et tué mon père. Je suis mort le jour ou un de ces vampires à décidé de s'approprier mon existence. Je m’appelais Morten et j'avais 10 ans. J'étais le plus jeune des enfants du campement. On vivait avec mon père et ma mère, entouré de trois autres familles. Nous nous considérions tous comme faisant partie de la même grande famille. C'était agréable la vie au grand air, agréable pour un enfant qui pouvait faire ce qu'il voulait de ses journées : courir partout, jouer avec ses amis. Enfin, je pouvais presque faire ce que je voulais. Ma mère me faisait l'école, comme aux quelques autres gamins du camp. Ce n'était que quelques heures par jour, mais c'était déjà beaucoup trop pour moi qui préférait les activités physiques aux activités intellectuelles. J'étais débordant de vie. Malgré mon jeune âge, j'essayais de me mêler de tout. Je voulais aider et on me donnait des missions très importantes, comme aller chercher de l'eau à la rivière ou ramasser du petit-bois pour le feu. Les tâches dans le camp étaient réparties en deux catégories : les hommes s'occupaient de l'approvisionnement en nourriture et les femmes de la gestion courante du camp. La vie n'était pas tous les jours facile, mais c'était notre vie. Elle nous appartenait aussi dure pouvait-elle être. Pour calmer les ardeurs de la jeunesse, les adultes nous racontaient des histoires. Des histoires pleines de monstres suceurs de sang, occupant des villes entières ou nous, nous n'avions pas le droit d'exister comme tel. Et ce qui était le plus terrifiant dans ses histoires, c'était le regard de ceux qui nous les racontaient. Ils avaient vu ces créatures, il n'y avait aucun doute là-dessus. Elles existaient. Mais j'étais encore trop jeune pour que l'on m'ait expliqué en détail de quoi il en retournait. J'aurais peut-être aimé être au courant, avant cette nuit-là. Tout s'est passé si vite. J'ai été réveillé par du brouhaha à l'extérieur de ma cabane. La porte d'entrée était entrouverte et mes parents n'étaient pas là. Encore à moitié ensommeillé je suis sorti pied nu dans la neige. Je me rappelle encore la sensation de ma peau contre le sol gelé. La neige était rouge par endroit. Je n'avais jamais vu de neige aussi rouge. Ma respiration faisait de petit nuage devant mes yeux, puis après quelques secondes d'adaptation, mon esprit compris ce qui se déroulait autour de moi. On était attaqué. Il y avait des corps par terre, au milieu de coussin de neige carmine. Un de ces corps était celui de mon père. Il avait les yeux ouverts et semblait me fixer. Sa bouche était ouverte, comme sa gorge. Je suis resté un moment comme ça, sans comprendre qu'il était mort. Puis, sembla venir de loin, j'ai entendu mon prénom ... Des hommes tenaient ma mère, ainsi que d'autre jeune femme du camp. Elle avait le visage en larmes et me criait dessus. Elle me disait de fuir. Mais où ? Où je devais aller ? Mon cœur battait à tout rompre et j'étais pétrifié. Soudain, un visage apparut devant mes yeux, un visage souriant, mais sanglant. L'homme me regardait avec des yeux d'un bleu profond. D'un bleu comme la nuit sans étoile qui nous entourait. Je ne le savais pas encore, mais ce monstre allait devenir mon bourreau. Cet homme me paralysa d'un simple regard et je suis resté là, debout dans la neige. Vêtu seulement de mon pyjama dans l'air glacial de cette nuit d'hiver. Je les ai regardés entasser les corps de ceux qui avaient résisté, homme, femme, enfant, tous gisaient là, membres entremêlés et sang pétrifié sur leur peau. Je les ai observés charger ma mère et les autres femmes dans un véhicule, même mes sœurs de cœurs partaient avec elles. Mes frères furent parqués ailleurs, attendant à l'écart que quelqu'un passe les chercher. Les hommes restant et les jeunes les plus âgés étaient eux aussi entravé et attendait pour être amené ailleurs. Et moi, j'étais au milieu, à bout de souffle et transi de froid. Je ne me rappelle plus trop la suite, mais ses monstres ont prononcé des mots qui resteront à jamais graver dans mon cerveau. Ces mots sont ceux pourquoi je me bats aujourd'hui. Pour qu'ils disparaissaient à jamais, avec les abominations qui les ont créés. Esclave – Centre de reproduction – Banque de sang – Élevage JOUR 30 Cela fait un mois que j'ai réussi à m'extirper des griffes de mon tortionnaire. Je n'arrive pas encore à réaliser que je suis sain et sauf. Enfin ... Dans les grandes lignes. J'ai énormément de mal à me trouver à manger. La forêt ... cela fait bien trop longtemps que je n'y ai pas mis les pieds. Toutes les plantes, les animaux qui me paraissaient si familier quand j'étais plus jeune, me sont maintenant plus flou. Mais je m'en sors. J'ai même réussi à recoudre l'estafilade que j'ai sur le visage. J'ai utilisé une aiguille en os, que j'ai taillé moi-même dans les restes de mon dernier repas et un fil que j'ai retiré de mes vêtements, j'ai fait sa dans le reflet d'une flaque d'eau, sans rien pour désinfecter ou m'anesthésier. La cicatrice sera terrible, si je survis à l'infection. Mais mon oeil n'est pas touché, j'ai eu de la chance ... J'espère ne plus jamais devoir faire ça ... Je vis seul pour l'instant. Et cela me convient bien. Je ne pense pas être prêt à côtoyé d'autres humains. J'ai l'impression d'être comme un animal blessé qui s'isole pour être tranquille. Moi et les démons qui hantent ma tête, c'est déjà beaucoup à gérer. D'ailleurs, l'euphorie des premiers temps commence à retomber. Moi qui pensais être heureux en dehors de ce manoir, je suis assez déçu au final. J'ai l'impression d'être constamment malade. Je me sens vaseux. Je tremble et j'ai la nausée quasiment tous les jours. Et mes cauchemars sont de plus en plus présents ... Je deviens peut-être définitivement fou ... ? Mais après tout ce qu'il m'a fait subir c'est normal non ? Je crois que j'ai passé cinq années en sa compagnie. Et j'ai eu mon lot de traumatisme, autant physique que mental. Mais je suis fier de moi, car je n'ai jamais craqué. Du moins pas que je m'en souvienne. Pourtant, il me battait quasiment tous les jours, j'ai eu mon lot de coup de fouet, de poing et même de couteau. Il me torturait ... Il disait qu'il aimait m'entendre pleurer ... Pourtant, je suis sûr que je ne pleurais pas, quasiment totalement sûre ... Un de ses autres esclaves, un jeune homme comme moi, désigné comme Tre (le chiffre trois en danois) m'a pas mal aidé à tenir. Je ne m'en rendais pas compte, mais il faisait tout pour que je garde ma lucidité. Lui aussi, il vivait presque la même chose que moi. Et il me soutenait moralement alors que, en prenant de l'âge, l'escalade de violence dont il faisait preuve envers moi devenait intenable, j'étais toujours battu, mais il m'humiliait beaucoup plus et il commença à abuser de moi, dès que mon corps fut sorti de l'enfance ... Et il me buvait ... Beaucoup trop pour que je puisse sereinement refaire mes stocks de sang. Et c'était ainsi tous les jours, encore et encore et encore. Quand il allait trop loin, il m'obligeait à boire de son sang. Comme ça il pouvait recommencer le lendemain, sans peine. Tre était là pendant mes convalescences. S'il n'avait pas été là, je pense que j'aurais entièrement perdu l'esprit. Tre n'était pas son prénom, évidemment nous n'en avions plus. Nous n'étions désignés que par des numéros, Tre pour lui, Fire (le chiffre quatre en danois) pour moi. Nous n'avions plus d'identité. C'est Tre qui me parla des boutiques d'esclaves, des puces, des centres de reproduction. Des choses que je n'avais pas connues. Il m'expliqua le monde de l'esclavage, les hybrides. Tout ce que j'avais manqué en vivant dans mon petit monde à moi ... C'est lui qui continua mon éducation. Tre devint mon monde, mon modèle. Je l'aimais plus que ma propre vie. Il me raconta son histoire, lui il était un esclave légal, d'élevage. Il n'avait connu que ça, il était pucé comme du bétail. Et il s'était fait acheter par ce type, ce vampire complètement fou. Mais pas fou au point de lui faire du mal à lui, sa puce et les règlements qui régulaient la possession d'esclaves le mettait à l'abri de certains sévisses. Mais moi je n'étais pas concerné par ça, parce que moi … Je n'existais pas … Comme To (le chiffre deux en danois). Je n'avais jamais connu To. Alors, quand un jour Tre ne vint pas me voir. Ni le jour suivant, ni celui d'après. J'ai réalisé que je risquais de disparaître à mon tour. Alors, je suis partie. J'ai fuit cette maison et son occupant. Il a failli m'avoir, mais j'ai le crâne dur et j'avais une fourchette en argent, cadeau de Tre, il n'avait d'ailleurs jamais voulu me dire comment il avait récupéré ça. Mais je savais qu'il voyait des gens à l'extérieur. Des gens qu'un esclave de bonne famille n'aurait jamais dû fréquenter. C'était surement eux qui la lui avait offert, où il la leur avait acheté ... Enfin je n'en savais trop rien, mais grâce à lui, j'ai pu m'échapper. Malgré le coup qui m'ouvrit quasiment le visage en deux, je réussis à planter ma fourchette dans le globe oculaire de mon esclavagiste et à prendre la poudre d'escampette. J'espère qu'il a souffert au moins un petit peu … ça me ferait plaisir. Un jour, je retrouverais Tre, il est forcément en vie et je pourrais lui donner mon nouveau prénom, celui que je me suis choisi : Mourn. JOUR 1125 Je n'ai jamais été aussi extatique de toute ma vie. J'ai … réussi à libérer des esclaves retenus dans un centre de reproduction. Les jeunes avec leur mère. C'était inespéré. J'avais tellement travaillé sur cette opération qu'en fin de compte, je ne pensais pas y arriver. Mais les conditions étaient en ma faveur. Et j'ai rencontré les bonnes personnes. Ils m'ont appris à me battre, à me servir d'arme et surtout à créer des bombes. J'aime beaucoup ça et surtout, je ne suis pas mauvais. J'essaie même d'en développer une qui fasse masse de dégât aux dents pointues et le minimum aux humains. Bon ça passe évidemment par l'argent … Et ce métal ne cours pas les rues malheureusement. Mais je n'abandonne rien. Après tout, Tre avait bien réussi à se trouver les bons contacts pour en récupérer. Pour en revenir à la libération, ou l'attentat, tout dépends du point de vue, j'ai réussi à libérer un petit élevage familial. Mon Dieu que c'est indécent d'appeler ça comme ça … J'ai choisi un moment où il n'y avait quasiment pas de vampire sur place. J'étais préparé, accompagné, mais on n'était pas des surhommes. Chose qu'ils étaient sans aucun doute en face. En résumé, des explosifs savamment placés pour faire diversion, des fumigènes pour aveugler tout le monde, une petite bombe incendiaire pour bien foutre la pagaille et un assaut coordonné et rapide nous ont permis de libérer tout le monde. Tout ce que nous cherchions c'était de désorienter les vampires par les multiples sources d'attaques pour qu'ils en oublient leurs "animaux". Personne n'est mort du côté des humains et ça c'était le plus beau des cadeaux, les familles sont maintenant libres et prise en charge par le groupe de résistant avec qui je vis depuis quelques années. Ils sont efficaces, mais ils ne souhaitent pas bouger, géographiquement parlant. Or, autour de nous il n'y a plus grand-chose à faire. Il faudrait aller ailleurs, se déplacer. Alors, j'ai décidé de partir pour Copenhague la semaine prochaine. Le groupe n'est pas très enjoué à l'idée de me voir partir là-bas, mais mon avenir se trouve dans cette ville, j'en suis sûr. C'est là-bas qu'est ma vraie place. JOUR 2343 Tout est plus compliqué que prévu. La ville, c’est très différent de ce que je connaissais. Et pour être honnête, quand tout ça sera fini, quand nous aurons tous retrouvé notre liberté, j’irais vivre à la campagne. Au calme. Loin de toute cette agitation. Mais pour l’instant, la libération de tous les esclaves, ce n’est pas encore pour demain. Je me prépare, je planifie, je réfléchis. Et je me rends compte que rien n’est facile quand on est seul. Il faut que je m’entoure des bonnes personnes. Mais pour être honnête, ça me saoul … Les gens, c’est clairement pas mon truc. Je ne surestime pas mes forces donc il faut que j’intègre un autre groupe. Mais … Il faut que je les trouve. Et ça c’est une autre affaire. JOUR 2352 Bon, le hasard fait parfois bien les choses. Je suis littéralement tombé sur des types dans mon genre. J'étais en train de repérer les lieux de ma future cible quand je suis tombé sur eux. Il se nomme les Étincelles de l'Aube. C'est un nom beaucoup trop mignon pour des rebelles. Mais je ferais avec. Je viens de les rejoindre et j'avoue que c'est agréable d'avoir de la compagnie. Ils vivent à l'écart de la ville. Et se débrouille de la même façon qu'on se débrouillait avec ma famille. Je suis heureux de pouvoir me sentir un peu plus détendu en leur compagnie. Le stress constant de vivre seul commençait à vraiment me peser. Mais là, ça va mieux, c'est tout des bons gars. J'espère juste que je m'entendrais avec eux sur le long terme. Le plus important, de toute façon, ce sont leurs actions, c'est clairement ça qui m'a fait les rejoindre. Je peux maintenant m'adonner à ce que je fais de mieux, les bombes et leur laisser les domaines où je ne suis clairement pas doué, comme élaborer un plan réfléchit. Et donc, grâce à eux, je peux passer la plupart de mon temps à élaborer de nouveaux engins explosifs, à chercher leurs composants, qu'ils soient électroniques ou chimiques, à chercher les bonnes combinaisons, les plus efficaces, les plus destructrices. Voir comment je peux contenir et diriger les explosions pour faire les dégâts exactement où je veux. Et surtout, je peux m'amuser à tester mes créations. Et ça c'est quand même la partie la plus fun du travail. Qui sait avec le temps on fera peut-être de grandes choses ? |
Lun 13 Juin - 10:56 Mourn
Messages : 282 Métier : Trappeur/chasseur de ces bois pas jolis |
Bonjour par ici ! C'est très chouette de voir ce prédéfini sorti du placard déjà ! Il y a quelques points que l'on aimerait éclaircir avec toi avant validation, les voici : -"J'ai même réussi à recoudre l’estafilade que j'ai sur le visage." Comment a-t-il fait ? nous me paraît difficile sans miroir dans un premier temps. Ou alors avec le reflet de l'eau. Avait-il du matériel ? Peux-tu le préciser ? -Vu la législation autour de l'argent, nous aimerions que tu expliques comment Mourn s'est procuré de l'argent ? Le spécifier dans la fiche pourrait aider d'autres à réutiliser ça inrp ! Donc un enrichissement collectif. -"Je vous passe les détails, mais c’est faisable" NOOOOON XD on veut savoir ! (pour l'attaque de l'élevage) Peux-tu développer en quelques phrases ? -Et concernant les bombes, est-ce qu'on pourrait avoir plus de détails sur leur fabrication ? Nous t'invitons également à utiliser un correcteur car beaucoup de fautes se sont glissées dans la fiche. Si tu as besoin d'aide sur ce point, n'hésite pas à nous poker ! Courage, et merci pour ta patience ! |
Mar 21 Juin - 16:24 Björn
Messages : 30 |
Coucou, j'ai essayé de répondre aux mieux à vos questions : -"J'ai même réussi à recoudre l'estafilade que j'ai sur le visage." Comment a-t-il fait ? nous me paraît difficile sans miroir dans un premier temps. Ou alors avec le reflet de l'eau. Avait-il du matériel ? Peux-tu le préciser ? J'ai essayé de vous décrire un peu mieux sa méthode, si cela ne vous suffit pas, je pourrais approfondir encore un peu. -Vu la législation autour de l'argent, nous aimerions que tu expliques comment Mourn s'est procuré de l'argent ? Le spécifier dans la fiche pourrait aider d'autres à réutiliser ça inrp ! Donc un enrichissement collectif. Comme je ne sais pas si cela va ressortir assez dans mon texte, je sous-entend qu'une organisation terroriste pourrait "donner / vendre" ça à certains de ses membres. Sous réserve que ces derniers s'en servent efficacement contre des vamps' -"Je vous passe les détails, mais c'est faisable" NOOOOON XD on veut savoir ! (pour l'attaque de l'élevage) Peux-tu développer en quelques phrases ? J'ai décrit la scène, j'espère que cela vous ira. Sinon, comme pour les sutures, je pourrais essayer de faire mieux ^^ -Et concernant les bombes, est-ce qu'on pourrait avoir plus de détails sur leur fabrication ? J'ai essayé là aussi de décrire un peu mieux ce qu'il faisait. Seul problème, c'est que j'y connais pas grand-chose en engins explosifs artisanaux et que c'est difficile de trouver des infos sur internet (sans se faire ficher S XD) Nous t'invitons également à utiliser un correcteur car beaucoup de fautes se sont glissées dans la fiche. Si tu as besoin d'aide sur ce point, n'hésite pas à nous poker ! Je suis navré ... Mais je crois que je vous ai posté mon texte non corrigé ...My bad ... Je m'en suis rendu compte en relisant / corrigeant. Car je passe toujours mes textes au correcteur ... Et là effectivement y'avait de la grosse coquille ... Voili voilou, hésitez pas à me dire s'il y a encore des trucs à approfondir. Et merci pour votre relecture <3 |
Jeu 23 Juin - 20:57 Mourn
Messages : 102 Métier : Conservateur |
Félicitations, tu es VALIDÉ ! Hâte de voir ce petit terroriste à l'action et impossible de refuser quelque chose en voyant Thief King Bakura ~ Tu peux dès à présent remplir ou mettre à jour ta fiche de joueur, et ensuite, recenser ton personnage !
Ensuite, n'hésite pas si tu as envie à :
Amuse-toi bien sur le forum Jeu 12 Avr - 12:44 Revenir en haut Aller en bas |
Lun 27 Juin - 12:48 Orion de la Roncière
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