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Krzysthozf Jansdr
Chara
Dragomir Madalina
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Jeannot Hardeval
Mental Jeannot, la coqueluche du petit écran new-yorkais, il incarne la quintessence du charme et du raffinement à la française. Qui l’eut cru qu’un simple esclave conquerrait le cœur des vampires, presque à l’en ériger comme un égal ? Le doux et élégant Jeannot, qui rappelle à ces vieux immortels le visage d’une Amérique passée et disparue où les femmes déambulaient encore dans les villes. Un esclave modèle que l’on présente comme un exemple pour tous à travers les États-Unis. Jeannot le beau sourire qui présente toujours la météo avec charme, le même Jeannot qui rayonne sur les plateaux télés et donne la réplique aux animateurs vampiriques des talkshow les plus connus. Tout le monde souligne l’exemplarité de Jeannot, sa douceur, sa docilité et son air ingénu. Seul son maître sait, que derrière ce Jeannot se trouve bien d’autres personnages, car après tout, c’est lui qui lui a façonné cette image. Aujourd’hui, le gamin qu’il a connu capricieux l’est un peu moins, mais tout aussi exigeant. Jeannot n’aime que les belles choses, tout ce qui brille, tout ce qui résonne comme le cristal et tout ce qui porte le nom d’une grande maison française ou italienne. Il a tous les parfums, toutes les paires de chaussures, les bijoux dont il a besoin pour rayonner, attirer l’attention de ces hommes qu’il doit séduire pour continuer à plaire. Le charme doit opérer. Toujours. C’est comme ça qu’il s’est hissé en haut du piédestal sur lequel il repose. C’est un stress permanent, une angoisse silencieuse enfoncée dans son crâne : tu dois leur plaire, tu dois les charmer, ils doivent t’aimer, Jeannot. Tout cela est épuisant. Parfois, il arrive au jeune homme de boire pour oublier. Jeannot adore le champagne, le vin et tous ces breuvages si chers à la France. Il en boit un peu trop, mais fort heureusement il tient sacrément bien l’alcool, car il y est accoutumé. Déjà adolescent, il se souvient, son maître le laissait boire une flûte pendant les dîners. Une seule flûte. Heureusement, les invités concédaient à lui en glisser une de plus, pour ses beaux yeux. Déjà adolescent, il savait les charmer. Sa douceur naturelle peut laisser place à une rage inouïe lorsqu’il ne sait pas comment surpasser ses frustrations. Jeannot peut tout détruire, jeter les vases, les verres et les bouteilles à travers la pièce, qu’importe tant qu’il parvient à extérioriser cette colère qui gronde en lui. Il voudrait que Rodin lui rende son amour. Son maître s’y refuse. Il voudrait que Serkan lui rende son amour. Son garde du corps s’y refuse également. Et cette solitude sentimentale lui est insupportable. Aucun bijou, aucun sac de luxe et aucun présent ne peuvent combler ce manque affectif. Physique Ce n’est pas pour rien que Jeannot, plus que quiconque, craint l’emprise du temps sur son corps d’être mortel. Son physique époustouflant est à l’origine de son succès. Un physique qui a été pensé et créé pour ressembler à celui d’une femme, capable de tromper l’œil des plus avertis. L’illusion est restée quasi-parfaite jusqu’à sa puberté et un bon nombre de vampires ont toujours cru qu’il s’agissait d’une humaine. Cela dit, l’adolescence l’a métamorphosé en une créature d’autant plus délicieuse lorsqu’elle lui a donné des touches de masculinité. Jeannot a cette allure de grande lady raffinée, perché de son mètre soixante quinze sur des talons aiguilles qui le rendent d’autant plus intimidant, presque inapprochable pour ceux qui se heurtent à son charme naturel. Il ne porte pas de vêtements à proprement dits féminins, pas de jupes, pas de robes, mais sa douce androgynie ressort d’autant plus lorsqu’il déambule dans un ensemble de costume. Le bel esclave est toujours paré de ses plus beaux atours, tirés à quatre épingles, coiffé et maquillé en toutes circonstances et il n’accepte que les pièces de grandes maisons de luxe. Son corps est fin et élancé, mais c’est son visage qui dégage le plus toute la douceur féminine que les laborantins ont cherché à lui donner. Sa mâchoire est petite et ses pommettes hautes, tout comme les autres traits de son visage qui ne semblent pas avoir le moindre défaut. De longs cils de biche papillonnent au-dessus de ses yeux d’un bleu céruléen qui rappelle à Rodin les eaux azurs du Sud de sa douce France. Jusqu’à il y a peu, Jeannot portait ses cheveux très longs, mais il a décidé de les couper au-dessus des épaules. Cela lui donne un air plus adulte qui n’est pas pour lui déplaire et semble souligner son caractère affirmé. Le jeune homme ne s’est jamais coloré les cheveux, son blond est naturel, chaud et doré, aux reflets miel. Il se donne du mal pour les entretenir. Histoire Si le Diable s’habillait en Prada, alors les Anges, eux, avaient un penchant pour les ensembles de costume de Saint Laurent. Un Ange bien mortel, aux pommettes saillantes et rosées donnait ce soir-là une interview très intimiste pour le célèbre talk-show the Very Late Night. Jeannot était comme à son habitude : absolument rayonnant. Sa beauté irradia tout le plateau dès qu’il eut fait son entrée et le jeune homme s’assit gracieusement dans le fauteuil aux côtés de l’animateur vedette. Celui-ci l’accueillit chaleureusement, s’autorisant même à lui glisser une caresse dans le dos lorsqu’il le conduisit jusqu’à sa place d’invité. Ils échangèrent longuement, l’animateur dirigea sciemment la conversation en évitant les sujets houleux et polémiques et Jeannot récita à la perfection ce qu’on lui avait dicté les jours précédents : encourager l’obéissance des esclaves sans oublier de remercier sans qui tout cela n’aurait jamais pu être possible : son Maître. Ce grand seigneur qui lui avait tout appris, tout offert et sans qui Jeannot ne serait rien d’autre qu’un pauvre malheureux… Loué soit la bonté et la générosité de son Maître. L’animateur et son invité purent remercier leurs très chers téléspectateurs, Jeannot les intima de le retrouver sur son émission où il jouait la co-vedette et le chef de plateau annonça enfin la fin du talk-show. Le rideau tiré, le jeune homme pouvait enfin rejoindre sa loge. -Jeannot, attends ! Le héla le vampire qui animait l’interview et l’interrompit dans sa fuite dissimulée. -Paul, chéri, je suis navré de m’éclipser aussi vite, mais j’ai un shooting très important dans moins d’une heure. Et tu sais comment est le trafic à cette heure-ci, absolument horrible, je suis déjà en retard. Répondit-il avec un sourire peiné sans pourtant s’arrêter. -Tu es toujours si pressé. L’Immortel le rattrapa bien trop vite alors qu’ils atteignaient les couloirs menant aux loges. J’aimerais beaucoup qu’on déjeune ensemble un de ces quatre. Paul l’attrapa par la hanche. Je t’emmènerai au Plaza, ils ont un nouveau chef qui prépare un confit de canard succulent, je sais que tu adores ça. -Ça serait avec plaisir, Paul. J’ai une semaine très chargée, je te laisse prendre contact avec Maître Hardeval. Répondit-il en atteignant sa loge. Ce fut Paul qui ouvrit la porte de celle-ci et bouscula Jeannot à l’intérieur, malmenant le brushing impeccable du Blond en y glissant brusquement ses doigts. L’animateur attira son visage contre le sien et l’embrassa pressement. Il avait laissé une marque sur le rouge de son encre à lèvres. -Accorde-moi dix minutes, je m’en contenterai… Ses mains froides se glissèrent sous le haut de costume Saint-Laurent, sous lequel l’esclave ne portait rien d’autre qu’un peu d’eau de parfum Chanel. Une première vibration du téléphone de Jeannot se fit entendre dans son sac, suivit rapidement par une seconde, puis le troisième appel fut renvoyé sur sa montre connectée. Paul le relâcha dans un soupire agacé et une armoire à glace en costume trois pièces passa la porte de la loge. -Monsieur Jeannot, nous devons partir. Le jeune homme reboutonna en hâte son costume tandis que l’animateur fuyait le regard du garde du corps qui s’était désormais placé entre eux. -Je suis navré Paul, je n’oublierai pas de parler à Maître Hardeval de cette invitation au Plaza. A bientôt, chéri. Dit-il alors que la tendresse feinte se mêlait à un sentiment plus amer. -Merci, Serkan. Souffla Jeannot après que le chauffeur se soit assit derrière son volant. Celui-ci lui jeta un regard à travers le rétroviseur, les yeux dissimulés par ses lunettes noires. -Je savais que ce salopard en profiterait. Monsieur Hardeval m’avait dit de ne pas tarder à te récupérer. Sa voix était calme mais ses mots trahissaient le dégoût qu’il avait pour le salopard en question. Jeannot lui renvoya un sourire doux-amer sans ajouter un mot et le vampire démarra la berline. Mieux valait oublier cet horrible Paul Goldberg, il lui restait d’autres chats à fouetter cette nuit-là. Le jeune homme prit tout de même le temps d’envoyer un sms à son Maître : « Dis à Paul d’aller se faire voir chez les Grecs », auquel Rodin répondit qu’il n’oublierait pas d’y mettre les formes. *** L’Immortel mentirait s’il niait être attiré par Jeannot. Bien sûr, sa ressemblance troublante avec la gente féminine était terriblement attirante, les traits de son visage, ses lèvres pulpeuses et son regard ingénu avaient tout pour faire chavirer le cœur des vampires en mal de femmes. Mais Serkan tenait à rester professionnel, il n’était que son garde du corps et son boulot était de le protéger, pas de profiter de sa position pour… D’autant qu’il le savait, tout cela était purement physique. Ça l’était sans doute également pour la jeune vedette qui ne manquait jamais de diriger ses charmes contre lui. C’était difficile de ne pas répondre à cette tentation, mais Serkan tentait d’étouffer ses pulsions. Derrière la porte lui parvenait la voix furieuse du jeune homme, la conversation légèrement étouffée par le bois mais tout de même audible pour un vampire. Jeannot était au téléphone avec Rodin et encore une fois : ils se disputaient. Jeannot avait bu. Il buvait depuis qu’il était rentré de son rendez-vous. -Monsieur Jeannot ?! S’exclama-t-il en se précipitant dans le salon privé, alerté par le bruit d’un bris de verre. Le jeune homme ne prit même pas la peine de se tourner vers lui, mais Serkan ne put manquer son expression troublée sur laquelle roulaient de chaudes larmes. Et puis ce fut l’odeur du sang qui satura soudainement tous ses sens. Sous sa colère, le verre à pied s’était brisé dans la main de Jeannot. -Monsieur Jeannot, vous vous êtes blessé. Alors qu’il s’approchait, le jeune homme tenta de minimiser les faits. -C’est… c’est le verre… quelle camelote… ce n’est rien… Il essuya les larmes de son autre main. Vous pouvez disposer, Serkan, je… -Laissez-moi vous aider. Je suis là pour ça. Dit-il en l’aidant à se relever alors que Jeannot peiné à se mettre debout. L’alcool ne l’aidait clairement pas à mettre un pied devant l’autre et ils eurent du mal à atteindre l’évier de la cuisine. Après avoir passé la main du blessé sous un filet d’eau, Serkan fut soulager de constater que la plaie n’était que superficielle. -Tu vois, ce n’est rien… -Vous devriez faire plus attention. Fit remarquer le garde du corps, les sourcils légèrement froncés. Vous auriez p… -Il va encore me laisser seul… pendant deux semaines… Je ne veux pas encore me retrouver seul… Le coupa Jeannot, la voix remplit de larmes. -Monsieur Jeannot, vous ne serez pas seul, je serai là. Monsieur Hardeval m’a demandé de rester avec vou… Le jeune homme le coupa à nouveau, mais sans user de mots cette fois-ci. Ses lèvres cherchèrent celles de son chaperon, comblant la misérable distance qui les séparaient à présent. C’était la première fois qu’il se montrait aussi direct, qu’il se montrait aussi cavalier. Ses lèvres portaient encore le goût salé de ses larmes et Serkan n’eut pas le courage de le repousser. Il avait encore l’odeur de son sang dans le crâne et il céda finalement à la tentation. Il n’aurait jamais dû. Tout cela était purement physique. Hardeval n’en sut jamais rien et ça ne se reproduisit plus jamais. *** Des chaussures aux talons rouges traînaient dans l’entrée, comme abandonnées par leur propriétaire au bord de la mer et prêtes à être emportées par la marée. À côté d’elles, un manteau italien et un sac dont le noir semblait plus sombre que la nuit avaient eux aussi été délaissés. Le parfum de Jeannot flottait dans l’air. Pas celui des fragrances de Chanel ou de Dior, mais la simple odeur de Jeannot. Rodin aurait su la reconnaître entre milles. Lorsque l’Immortel poussa la double porte du salon, il le trouva là, allongé négligemment sur le canapé. Le jeune homme venait de sortir de son bain, ses cheveux étaient encore mouillés et il portait toujours son peignoir émeraude. Dans une main, il tenait une bouteille de champagne et dans l’autre la photo d’une jeune femme. -Pourquoi est-ce qu’elle me ressemble ? Le silence marqua sa question, puis Jeannot planta son regard céruléen dans les deux yeux fuyants du Vampire. Est-ce que cette femme est… ma mère ? Rodin trembla, Jeannot en était certain. Un tremblement imperceptible que nul être mortel n’aurait du saisir à part celui qui ne le connaissait que trop bien. Le Vampire avait tremblé et son air d’habitude si solaire lui parut alors terriblement assombri. -Je n’aurais pas du fouiller dans ton bureau. Je sais, je n’en ai pas le droit. Le devança le jeune homme avec une insolence noyée dans le chagrin. La colère et l’incompréhension louvoyaient également dans le ton de sa voix. J’ai le code de ton coffre depuis bien longtemps… je pensais tout y trouver sauf ça. Et j’aurais préféré y trouver autre chose… C’était la première fois que Rodin n’osait pas croiser son regard, préférant décortiquer le motif complexe de la marqueterie que d’affronter son esclave. -Tu vas me répondre, oui ! J’ai le droit de savoir ! Je veux savoir qui est cette femme ! S’emporta-t-il en se relevant. Ses cheveux humides lui tombaient sur les épaules. La bouteille de champagne traversa la pièce et manqua de peu le visage de Rodin, s’écrasant dans un petit guéridon qui supportait un magnifique vase remplit de roses. Le vacarme effroyable du verre brisé ne suffit pas à faire bouger l’Immortel. -Tu me dois bien ça… je veux savoir… Tu l’aimes, c’est pour ça que tu as caché ces photos, parce que tu l’aimes ! Jeannot fondit en larmes, froissant le portrait qu’il tenait dans sa main, pourtant bien incapable de déchirer la photo. Même si la jalousie nourrissait la haine qu’il avait pour cette femme, il ne pouvait pas se résoudre à faire du mal à Rodin. Si le Vampire les avait enfermées au fond d’un coffre, c’était parce qu’il devait y tenir comme à la prunelle de ses yeux. -Je l’aime, c’est vrai. Rodin le prit dans ses bras. Jeannot ne l’avait ni sentit ni vu approcher. Hélène, elle s’appelle Hélène. Il hésita, déchiré entre des sentiments qu’il avait depuis longtemps refoulés et dont il était presque incapable de se libérer. Ce n’est pas ta mère, Jeannot. La vérité agit comme un pansement que l’on posait enfin sur une plaie de longue date. Jeannot comprit finalement pourquoi Rodin ne l’avait jamais aimé comme il l’aurait voulu, pourquoi il n’avait jamais cherché à le toucher comme tous les autres et pourquoi il refusait d’entretenir une quelconque intimité avec lui : Hélène avait été sa fille. Bien avant que la Nécrosis ne vienne bouleverser le monde des humains. Hélène lui ressemblait comme deux gouttes d’eau parce qu’elle portait le même adn que le sien. Enfin, Jeannot lui ressemblait car il avait été conçu à partir de l'adn de la jeune femme décédée. Ce n’était qu’une copie imparfaite et pourtant, le destin avait voulu qu’il suive le même chemin et c’était pour cela que l’Immortel n’avait jamais pu lui refuser sa quête d’ascension. Hélène n’avait jamais pu atteindre le statut de sa copie, décédée avant d’avoir pu accomplir ses rêves de grandeur. On ne pouvait jamais revenir en arrière et Jeannot ne sut jamais s’il regrettait d’avoir ouvert le coffre-fort, mais il pouvait désormais accompagner son maître sur la tombe de la jeune femme et partager ce temps – autrefois passé seul à attendre cet homme – avec Rodin. Un petit résumé pour ceux qui veulent en apprendre plus sur ce petit lapin: -Rodin Hardeval, très riche héritier d’origine française expatrié à New-York passe une commande à un centre de reproduction français, spécialisé dans les esclaves de haute gamme. L’homme d’affaires remplit un cahier des charges très précis concernant le physique de son futur esclave et fait parvenir au centre de l’adn de sa défunte fille : il veut que le garçon ressemble à cette dernière. -L’enfant naît un 15 août et restera au centre jusqu’à ses 6 ans avant d’être envoyé au domaine des Hardeval près de Paris. Il y restera jusqu’à ses 12 ans pour apprendre les bases de son éducation, directement inculquées par un précepteur choisit par la famille Hardeval. -Jeannot grandit donc avec une cuillère en argent dans la bouche, choyé et destiné à être un bon esclave de compagnie, il jouit d’une certaine liberté et rêve de rencontrer ce Maître de l’autre côté de l’océan, qu’il n’a jamais vu. Un maître qu’on lui décrit comme la plus belle des merveilles du monde, entouré de mystère et de fantasme. -Lorsqu’il le rencontre enfin, après avoir traversé l’Atlantique et mis les pieds à New-York, Jeannot est très intimidé. Le Vampire est fou de joie de l’accueillir enfin. Ils passent deux semaines formidables, Rodin lui fait visiter la ville, l’emmène déjeuner et dîner dans les plus beaux palaces, il le couvre de cadeau et puis l’Immortel retourne à son travail. Jeannot se retrouve seul, bien trop seul. -Il déprime, même si son garde du corps l’accompagne où bon lui semble. Rodin lui manque affreusement. Il rentre quelque fois, lui donne une caresse dans les cheveux et s’enferme dans son bureau. Parfois, Jeannot à le droit de rester près de lui, s’il reste silencieux, mais il finit toujours par s’endormir d’ennui. -Lorsqu’il a 14 ans, Rodin l’autorise à se rendre aux dîners d’affaires avec lui. Il ne se sert pas de lui pour amadouer ses clients, c’est plutôt Jeannot qui se laisse amadouer. Ils cherchent tous à le flatter, lui donnent des friandises dans le dos de Rodin ou une coupe de champagne. La séduction devient un jeu pour lui sans que son maître ne s’en aperçoive. -Voilà qu’à 16 ans, Jeannot demande à Rodin de le laisser faire des photos. Le Vampire accepte pour lui faire plaisir et de fil en aiguille, il le soutiendra dans son ascension vers la célébrité. -C’est à 20 ans qu’il accède finalement à son premier plateau télé où il co-anime l’émission auprès d’un Vampire bien connu du petit écran. -Se succèdent alors de nombreuses années de réussite entre shootings, défilés, plateaux télés et événements mondains en tout genre. |
Ven 18 Mar - 15:48 Jeannot
Messages : 713 Métier : Lieutenant de la milice - section IVC |
Coucou ! Jeannot est un personnage très attachant et la fiche est quasi bonne, à part un petit détail par rapport à l'ADN utilisé ! Nous n'avons pas compris si c'était celui de Rodin ou d'Hélène... Une fois ce petit détail réglé, nous pourrons te valider ! Préviens quand c'est fait o/ |
Dim 20 Mar - 19:27 Alyosha Thaln
Messages : 28 |
Merci Al Voici les modifs : "Enfin, Jeannot lui ressemblait car il avait été conçu à partir de l'adn de la jeune femme décédée." "L’homme d’affaires remplit un cahier des charges très précis concernant le physique de son futur esclave et fait parvenir au centre de l’adn de sa défunte fille : il veut que le garçon ressemble à cette dernière." |
Lun 21 Mar - 13:20 Jeannot
Messages : 282 Métier : Trappeur/chasseur de ces bois pas jolis |
Félicitations, tu es VALIDÉ par Alia et moi ! -- Fiche fluide, agréable à lire, j'ai particulièrement aimé sa construction qui permet de découvrir Jeannot à travers des événements de son quotidien ! Puisse-t-il briller encore (et éviter les Tu peux dès à présent remplir ou mettre à jour ta fiche de joueur, et ensuite, recenser ton personnage !
Ensuite, n'hésite pas si tu as envie à :
Amuse-toi bien sur le forum |
Lun 21 Mar - 17:40 Björn
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