Stella Cinis
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.
Une vaste pandémie frappe l’humanité au cours de l’an 2000. Fléau divin, raté biologique ou simple régulation naturelle, l’origine du virus “Necrosis” est inconnue. Plus virulant que la peste bubonique, Necrosis tue en quelques jours ses hôtes, à grands renforts de fièvres, de vomissements et de nécroses des tissus sensibles (muqueuses) ainsi que de plaies. En quelques mois, la population mondiale chute de plus de moitié, ouvrant une immense brèche pour la race vampire, demeurée jusqu’alors tapie dans l’ombre.
COPENHAGUE - Été
An 2504
Annonces
4 ans! Ça se fête! En effet! Le forum fête ses quatre ans. Un petit ménage des nouvelles et nous voilà, à la conquête du monde!!
Nouveautés
13.01.2023 News de début d'années !
10.08.2022 Nouveau design et introduction d'un profil plus complet.
15.06.2022Introduction de Fleu et Moony dans le staff
31.03.2022 Résultats du recensement.
28.02.2022 Introduction de Björn dans le staff
15.03.2022 Appartition du boutton accessibilité.
12.03.2022 Appartition de l'argenterie.
10.06.2018 Le forum est à présent ouvert, longue vie à Stella Cinis et ses joueurs !
07.04.2018Lancement du forum en bêta-test. Bienvenue et merci à tous!
Bloc Note
Bloc-notes
Invité
Ven 15 Déc - 20:41
Invité
Mer 15 Nov - 12:37
Invité
Sam 11 Nov - 17:09
Invité
Mer 4 Oct - 8:16
Invité
Ven 22 Sep - 20:51
Invité
Lun 14 Aoû - 23:18
Deus ex Cinere
Ven 21 Juil - 16:34
Deus ex Cinere
Ven 21 Juil - 16:13
Invité
Mer 19 Juil - 17:01
Le Deal du moment :
Funko POP! Jumbo One Piece Kaido Dragon Form : ...
Voir le deal

Hélonim Vernalis
Messages : 337
Métier : Prostipute BDSM de luxe + chimiste à la Juggenafian
squatteur professionnel
Hélonim Vernalis
squatteur professionnel


Prénom(s) : Hélonim
Nom(s) : Vernalis
Surnom(s) : Hél, Hélo, Nim, "sujet 3", la suceuse, etc.
Âge : 33
Âge apparent : 19
Nationalité : danois
Race : /
Standing : chaussette trouée à jeter
Orientation : homo, il existe autre chose ?
Métier : pute
Autre : piercings + tatouages, Distichiasis


Hélonim Vernalis



C'est loin d'être ma priorité. les esclave, j'm'en fous un peu, c'est cool si je peux en croquer un, c'est cool aussi si, tout bêtement, ils peuvent me filer des thunes ou m'apporter quelque chose. En somme, j'ai parfaitement intégré qu'ils servaient de bouffe, mais à part ça, ils sont parfois clairement à envier, par rapport à moi.






Porcelain, OC Anndr



Description mentale


“Ne me TOUCHE PAS, Bordel !”

Je me dégage d’un coup de coude. Oh, ça part pas d’une mauvaise intention. On a baisé, il m’a même filé du sang parce qu’il me trouvait un peu pâlot, il m’a filé ma thune. Puis il a commencé à m’interroger. Où j’habitais. Si j’avais besoin d’un toit, d’un moment pour me reposer, faire le point. Il veut m’aider à sortir de cette “mauvaise passe”. C’est pas une mauvaise passe. J’ai pas besoin de quelqu’un pour m’en sortir. Il a insisté, parce que j’avais “pas les idées claires”. Il a fini par essayer de me retenir. Je déteste ça.

Je supporte pas qu’on vienne me faire la morale sur ma manière de vivre, qu’on cherche à la diriger. Je sais très bien comment ça se passe, c’est jamais autrement. Comment ça, qu’une ou deux expériences en la matière ? Non, non, 100% de mes expériences en la matière, c’est différent. Il commence par être sympa, vouloir faire “attention à moi”. Et après, faut voir ce qui l’intéresse. Mon cul, mes capacités cognitives ?

Ouaip, j’ose utiliser un mot comme ça. C’est presque grossier dans ma bouche, mais j’y peux rien si je retiens facilement tout ce que je lis, et que j’ai pas besoin de longtemps pour faire 2+2. Ca vient tout seul. Bon, à côté de ça, faudrait que je m’éduque, et ça me fait chier. Bon potentiel, partiellement gâché : j’ai jamais vraiment eu d’éducation, j’m’en fous, je m’intéresse qu’à quelques trucs.

Mais lui… Lui, je lui fais pas confiance. J’ai toujours du mal à faire confiance, ça finit vite en crise. Dès que je suis un peu à l’aise, ça part en couille. Je crie, je gueule, je finis par me barrer et j’ose plus revenir. Lui, je réussis pas à penser qu’il a pas, justement, un p’tit quelque chose derrière la tête. Il me fait peur. Il essaye de s’expliquer, alors je lui hurle dessus. Il veut bien faire. Il suffirait qu’il se montre un peu autoritaire, qu’il fasse mine de me frapper, et je redeviendrais docile. Mais il ne le sait pas, alors je garde le peu de pouvoir que j’ai sur lui pour me barrer avant qu’il ne le réalise. Mauvais, gâché, un débris, une pute. Des mots qui me collent à la peau.

Quand je me retrouve comme un con, seul dans la rue, je réussis même à le maudire. Parce que le soleil va bientôt se lever, que j’aurais pu avoir un toit, pour quelques jours, me reposer. Qu’il aurait pu être sympa, ce type. Pas question de faire demi tour pour m’excuser. Par contre… Un jour, peut-être, quelqu’un laissera la porte ouverte au lieu d’essayer de me la fermer sur le nez pour me bloquer. Alors… Dans ce cas, je déciderai peut-être de m’installer.



Description physique


Beniamin ? Non, je t’assure, j’étais pas en train de… Ah, sa bouche ? Non, mais c’était pour le grimper après, ça compte pas. Il demandé si c’était naturel, les cheveux blancs j’ai juste voulu lui prouver, et… Voilà, on en est arrivé là.

Je sais, t’aime pas qu’on pose les mains sur ton mec. Tu sais pourtant que c’est pas pour toi que j’porte du maquillage autour des yeux. Du noir, pour les mettre en valeur, faire ressortir leur vert émeraude. Ni que j’ai les cheveux longs, parfois teints comme ça me passe par la tête pour cacher qu’ils sont en fait parfaitement blanc.

Toi, par contre, tu te gêne pas pour poser tes mains sur mon visage. Précisons, même, que tu enfonce tes gros doigts dans mes joues, faisant ressortir mes lèvres pleines de manière ridicule. Et tu gueule que tu vas me faire retourner sur le trottoir, en laissant des marques bleues sous chacun de tes doigts, qui disparaîtront. Je retrousse le nez, petite chose esthétique au milieu de mon visage que la drogue n’a jamais bousillé, merci les pouvoirs de vampire. Ma mâchoire aussi volontaire que délicate disparaît dans ta paume, et tu me force à te regarder. Je prends peur. Toi, tu joue à faire bouger mes lèvres sans me demander mon avis, tirant sur les piercings qui décorent celle du bas. Tu m’as déjà arraché celui du nez plusieurs fois. Ca pisse le sang, ça t’éclate. C’est pas pour ça que je le remettrai pas à chaque fois.

Au fond, je déteste le fait que tu me dépasse, faut dire que je reste persuadé de ne pas avoir fini ma croissance, d’avoir été vampirisé trop tôt. J’ai même pas atteint le mètre 80, à 2cm près. T’as des muscles bien développés, moi ça me lourde de faire de la gonflette. J’oserais jamais te le dire. Tu m’as déjà cassé le bras pour moins que ça.

Quand tu serre ma gorge de l’autre main, j’ai ce réflexe con d’humain que j’ai jamais tout à fait perdu. J’essaye d’inspirer, mon torse finement sculpté, d’albâtre qui n’a que peu vu le soleil, se soulève ératiquement. Pourtant, c’est juste parce que ça t’éclate de me voir paniquer. Tu finis par me relâcher pour m’attraper le poignet. Tu serre mes articulations fines, juste en dessous des marques que j’ai sur le dos de la main - les dos des mains - à cause d’avoir toujours une perf là dedans à une époque de ma vie. Sous tes doigts, c’est quand mes veines des coudes étaient trop bousillées. La peau est granuleuse. Ca avait abîmé le code barre avant même qu’on me le retire, laissant la seule réelle cicatrice qu’arbore mon corps.

J’ose pas essayer de me débattre. Tu finis par me jeter sur le lit sans douceur, tu me retourne sur le ventre, tirant sur mes fringues. J’aime le noir, le cuir, avoir un collier qui me fait ressembler à ta pute. Je joue de ça. Je garde presque toujours les cheveu détachés, ils arrivent au milieu du dos à présent, tu les attrape souvent pour tirer ma tête en arrière, me faire crier de douleur.

Tes mains me palpent. C’est pas sexuel, pas encore. Tu appuie sur le bas de ma colonne vertébrale, là où j’ai eu tant de ponctions lombaires que le contact un peu appuyé en est douloureux. Au dessus du stamp tramp “Born to be wild” en écriture gothique. Tu attrape un de mes microdermaux des hanches. Je bloque ma respiration pour ne pas crier quand tu tire, et la peau vient - au moins cette fois c’est pas le piercing du frein, j’ai fini par l’enlever de toute façon. Puis tu lève la main.

Arrête. S’il te plait, me frappe pas. Oui, je retourne bosser. Non, je chercherai plus à te tromper, pardon… Me fais juste pas trop mal… Je sais. Ca n’a pas d’importance. Les marques finiront par disparaître...


Histoire


Quoi, la dose te suffit pas, t’as envie que j’te la tienne, aussi ? Mais pas de problème, ici on est serviable. Viens par là, file moi ta bière, et tend le bras que j’te fasse la piquouse. Tu vas aimer. Allez, flippe pas, je reste avec toi, et je parle. Mon histoire ? hum.. Allez, pourquoi pas. J’suis de bonne humeur, ce soir.

Comme tu peux t’en douter, comme tous les jeunes vampires, j’ai pas eu une enfance toute rose bonbon. Nan… j’pourrais faire dans la poésie et dire que la mienne était blanche. Aceptisée. Tu vois où je veux en venir ? Ouaip, un cobaye. Il en faut bien, parait. Crâne rasé et petite blouse d’hôpital au rendez-vous. J’avais quoi, 5 balais quand je suis tombé là dedans ? 5, quand on m’a retiré du giron de ma mère. Je sais même pas pourquoi, j’ai pas posé la question. On était un lot de 4.

J’avais du bol. J’avais appris à lire, déjà. Par ma mère, au centre. Et putain, dès que j’avais un moment de libre, je me barrais pour choper le premier bouquin que je pouvais. Au début, ça plaisait pas trop. Puis y’a eu Kadowaki. Lui, ça l’amusait. Il me voyait comme une expérience, le Doc. Il voulait voir si je pouvais tirer mes épingles du jeu, si j’allais faire quelque chose de tous ces bouquins qu’il y avait à ma disposition. Il a commencé à jouer. Il m’a filé des ouvrages simples, puis de plus en plus complexes. Il m’interrogeait pendant les tests, par bravade je ressortais ce que je pouvais, de mieux en mieux. Plus j’apprenais, moins j’avais de tests, et plus j’avais droit à des bouquins intéressants. He ouais, je suis autodidacte, rien que ça. Quand j’ai commencé à avoir dépassé la quinzaine, j’étais une bête en chimie. Le reste ? Si tu me parles de Décartes, j’te demanderai si c’est une marque de fut’. Alors j’ai arrêté les expériences. Je croyais. J’suis passé de l’autre côté, j’ai enfin eu le droit de me laisser pousser les cheveux, par exemple, et j’les ai jamais coupés, à part les pointes. Ils ont repoussé tout blanc, par contre, un choc, le stress, les expériences, l’envie de s’adapter à l’environnement. Jamais su quelle couleurs ils avaient avant.

Kadowaki a d’abord fait de moi son assistant. Clean, tant que je bossais ça allait, si je déconnais il me privait de bouffe, de lumière, ou de bouquins. T’es déjà resté 24h dans une pièce avec rien d’autre à foutre qu’attendre ? Bah écoute, moi, c’est arrivé une fois, la deuxième je l’ai supplié de pas m’enfermer. Y’a jamais eu de troisième. En gros, c’était simple : il était content de moi, tout était beau pour moi. J’avais intérêt à ce qu’il le soit. Et de son côté, bah… J’étais un plus pour son p’tit labo de chimie. J’approchais pas des cobayes, il pensait que j’étais trop fragile encore. Je l’étais, largement. Quand il a estimé que j’étais assez doué pour bosser en autonomie, il a estimé que j’allais devenir un vampire. Première fois qu’il posait ses sales pattes sur moi. Dernière.

Tu veux que je te raconte comment il m’a saigné à blanc pour se faire le gueuleton du siècle, ou ça te rappelle un peu trop comment ton paternel à toi il t’a transformé ? Bah, on passe les détails. Bon. Sauf que tu vois, même en fermant ma gueule, j’avais un peu une… dent, disons, contre l’équipe du Doc. C’était bien mignon, faire des médicaments pour les humains, pour les vampires aussi. Ceux dont les problèmes, dans la tête, devraient être soignés par une bonne balle d’argent, mais on se contente de les abrutir. Alors dès que j’ai eu un peu de temps libre… Ah, j’étais un bon toutou obéissant, sur mon temps libre, je bossais quand même au labo ! Je cherchais à faire des trucs cool. Qui liquéfie la cervelle de vampires pour en faire des pauvres loques. Ma crise d’adolescence, en somme.

C’était pas vraiment contre “les vampires” que je voulais me venger, ni “sauver la veuve et l’orphelin humain”, ça, au fond, je m’en tamponne. Même, si on me propose un humain pour caler une dent creuse, j’ai pas tendance à dire non. Mais j’avais envie de détruire le labo, le faire couler, me venger du Doc. Et pour ça… Bah, j’ai commencé à faire foirer les médicaments qu’ils refourgaient. Et ils ont moyen aimé…

Deux chose l’une : si un jour t’as envie de te mettre à dos un labo, parce que tu te dis qu’il est petit et que, bah, c’est que des blouses blanches avec que dalle dans le froc, vérifie qu’ils aient pas quelques gros bras armés. Ils voulaient pas que ça s’ébruite, puis je sais pas, me bousiller définitivement a pas été au menu. Ils m’ont mis à la porte, j’avais plus beaucoup de membres entiers. Je me souviens bien de ce que Doc m’a dit. “Tu n’es rien sans moi, tu n’as nulle part où aller, tu reviendras bien assez vite.” J’avais que le labo, rien d’autre dans la vie. Il avait raison, mais je voulais le faire chier. Puis, j’allais pas rester chez quelqu’un de plus con que moi. Pas question qu’il remette la main sur moi… J’étais minaud quand il m’a transformé, il s’était donné la main sur mon compte et l’a rapidement gelé, me laissant juste le temps de me remettre d’aplomb chez un médecin. Juste que je sois pas criblé de dettes, mais qu’il me reste plus rien. Parfois, dans mes moments de paranoïa, j’imagine que le médecin qui m’a retapé était un de ses potes. Aucune preuve.

Ensuite ? La rue. J’avais peur qu’il m’ait dénoncé pour chais pas trop quoi. Bah, t’imagine que pour survivre, j’ai trouvé le lit d’un caïd à réchauffer. J’en ai carrément chié les premières fois, j’étais encore puceau. J’ai repris mes habitudes d’expérimentateur de drogues diverses. Aka : me piquer, comme tu viens de faire là. J’ai toujours ce mauvais tic, j’essaye d’être discret maintenant, les substances qui circulaient étaient moyen légales. Epave. En somme, j’étais une grosse épave. C’était pas tant l’effet de la drogue, j’avais juste… plus trop de but dans la vie, tu vois. Plus le niac. Je sais plus trop comment Beniamin a décidé que je servais à rien, donc que je pouvais servir à sucer des bites pour lui faire gagner des thunes. C’était loin d’être ma came, ça. Alors j’lui ai vite fait comprendre que j’avais d’autres qualités. Son p’tit gang de merde, plutôt axé sur les vols et la casse, s’est mis à dealer, y’avait ⅔ trucs faciles à faire à mon niveau. C’était assez juteux comme truc, et j’ai commencé à voir circuler des drogues à base d’argent… Aux effets dévastateurs. C’était ça, ce que je voulais faire : un truc qui bousille du vampire. Un truc qui bousille le Doc, qu’il m’aurait pas appris, et qui m’aurait permis de l’avoir à ma merci. Restait à comprendre comment ça fonctionnait… Lui en faire prendre, le buter, prendre mon pied à le voir partir en cendres.

Heureusement, quand je me came pas trop, je réussis à aligner deux neurones sans trop de mal. Mais Beniamin voulait pas piquer ce dont j’avais besoin : de l’argent. Bien sûr, faire des casses, avoir un beau p’tit lot au bras, ça le bottait, tu vois ? Mais toucher à ça… Il avait pas les couilles. J’ai fini par dire merde. Encore un truc pas malin, mais j’ai réussi à leur filer entre les doigts… J’espère que Beniamin a compris qu’il pouvait faire une croix sur mes doigts de fée et mon cul. J’préfère encore choisir à qui je me vends et dormir dans des cartons dans un squat que me faire chier avec ce beauf. J’l’ai fait.

Bon, tu dois un peu te demander le rapport avec c’qui t’arrive. Bah ouais, j’suis une pute maintenant, j’suis pas sensé trainer avec de la drogue sur moi, mais à la limite, on s’en fout, hein ? Puis, t’es venu parce que t’as entendu dire que j’avais de la Chrimata, cette drogue à base d’argent qui fait fureur. T’es un peu naïf, toi… J’t’ai dit que j’étais pas con. J’ai fini par trouver une base d’argent - merci les contacts de Beniamin : un bout de dent de fourchette. Epique, hein ? l’Argentium, ce sera ma drogue, avec laquelle je bousierai le Doc et son labo.  

Oh. T’écoutes plus trop ce que je dis. Bon, je m’en doutais, avec la bave aux coins de tes lèvres, j’ai même carrément l’impression que la p’tite dose que je t’ai filé est un peu trop brutale. C’est pas grave mon grand, c’était sympa de te causer. J’vais quand même attendre d’être sûr que t’en crèves, sinon je finirai le boulot moi-même. Faut croire que juste mélanger un peu d’argent à de la meth, c’était pas encore ça. Je trouverai quand même. Il me reste un peu de matériau de base, je finis toujours pas avoir de quoi m’acheter deux doses. Une pour moi, une pour les tests. Tant pis pour les morts. Alors... Merci pour la bière.

Lun 9 Avr - 23:58 Hélonim Vernalis
Anonymous
Invité
Invité

Félicitations, tu es VALIDÉ par Engel et moi-même ♥️ !


Hélo, Helo, Helo... Que dire sinon que j'ai envie de le lire dans des scènes fluffy ? Allez va, file rejoindre tes petits copains ~

Tu peux dès à présent remplir ou mettre à jour ta fiche de joueur, et ensuite, recenser ton personnage !


Ensuite, n'hésite pas si tu as envie à :



Amuse toi bien sur le forum ♥️

Ven 13 Avr - 20:02 Invité
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum