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Prénom(s) : Claes Pargis Nom(s) : Petersen Surnom(s) : certains l’appellent “Claki”, mais c’est uniquement dans le cadre intime Age : 509 ans Age apparent : La 40aine Taille : 1m80 Nationalité : Dannois Race : / Orientation : sapiosexuel Métier : Dirigeant Suprême Autre : Rien n’est plus détendant qu’un bon cigare Claes Pargis Petersen Les loi sont trop souples actuellement ! Regardez où cela nous a mené ! Des mortels qui attaquent - et blessent, ou tuent ! - des vampires, des citoyens qui se pensent innocents et possèdent des armes, prêtes à être utilisées contre la société, contre nous ! Il est temps de cesser de nous reposer sur nos acquis ! Ce n’est pas pour rien que mon prédécesseur a abandonné le navire, et je compte bien surpasser son travail ! Avatar venant de Che-Ro, commission Description mentale Vu la période troublée que nous vivons, il faut un homme fort à la tête de la FEPS. J’ai une ligne de conduite très claire, qui ne souffre d’aucune sensiblerie pour les esclaves ou les terroristes qui voudraient nuire à l’ordre public. Mon programme est simple, même si je sais que ça prendra du temps pour l’appliquer à l’échelle de la FEPS. Inflexible, parce que c’est ce qui est nécessaire après la vague d’attentats que nous avons subis, dur, mais également à l’écoute des émissaires. C’est une obligation. Je veux réellement améliorer la vie de nos citoyens, je veux réellement faire bouger les choses. Quitte à devoir me salir les mains. Quitte à autoriser un peu plus le braconnage en extérieur, l’aider, même, pour ne pas avoir à y envoyer uniquement la milice. Qu’elle puisse se concentrer sur la propreté des sous-sols… Bien sûr, c’est le genre de chose que je garde secret pour l’instant, même l’émissaire que j’ai nommé pour me succéder n’est pas encore au courant. La lutte contre le terrorisme sous toutes ses formes est prioritaire sur l’éthique, c’est pour moi une évidence. Je n’ai pas tendance à me cacher derrière gardes du corps ou autres gorilles du genre, même si ça va à présent avec ma nomination. On peut me voir à des expositions, au théâtre, à l’opéra, j’essaye d’adoucir l’image que renvoie mon orientation politique. J’ai même un esclave, d’ailleurs, que j’emmène souvent avec moi dans ce genre de sorties. Je ne pense pas vraiment en faire mon héritier, cela fait longtemps que mon sperme congelé attend le jour où je me déciderai pour ça, mais je lui offre une belle vie... tant qu’il obéit. Quand je peux me détendre un peu, quand je ne suis pas observé par la foule, j’aime bien rire, j’aime bien passer des soirées à boire avec quelques amis, en discutant de tout et rien, en refaisant le monde, en disséquant une théorie quelconque de philosophie ou le dernier livre intellectuel sorti. Pas forcément facile de sortir discrètement, encore moins maintenant, mais j’essaye tout de même d’avoir un peu de temps pour moi. J’aime la culture sous ses formes les plus nobles, restant assez imperméable à l’art moderne ou au street art. J’aime les jeux, moins de hasard que de réflexion, même si je suis assez mauvais perdant. Je déteste être contrarié, généralement. Si on me sort de ma zone de confort, j’ai d’ailleurs parfaitement tendance à me montrer exigeant, autoritaire et directif, peu expansif de toute façon sur mes sentiments. Pour être sûr que je garde le contrôle de tout cela… Description physique Tu m’as encore coincé, mais pas pour longtemps. Tes doigts avides agrippent déjà mon corps, sans marque particulière par rapport au tiens. Celles d’une vie rangée, d’accidents sans importance, de personne ayant grandi dans une période de calme. J’ai une bonne taille, une carrure importante, j’entretiens mes muscles comme mon apparence. Tes lèvres se referment sur les miennes, mordent un peu, caressent ma moustache rousse alors que l’instant d’avant tes joues se frottaient à ma barbe fournie. Tes mains remontent sur mes bras, prêtes à me maintenir contre le matelas, sans douceur. Ca n’a pas de place entre nous, ça rendrait les choses trop bizarres, et c’est pour ça que je n’hésite pas à t’envoyer mon genou dans les côtes, retourner la situation, passer au dessus de toi. Nos regards s’affrontent un instant. Si clair pour toi, tout au plus olive pour ma part, partiellement caché par les mèches rousses, sauvage, que j’avais pris tant de temps à dompter avant notre rendez-vous. Bien souvent, tu fais plus jeune que moi. Avec ta manière de t’habiller comme si rien ne comptait vraiment, mes éternels pantalons cintrés et mes chemises, comme s’il n’y avait que ça dans ma garde robe. Les cravates, par contre, je les garde pour les moments importants, je n’ai jamais vraiment aimé. Tu me laisse quelques instants comme ça, le temps que je reprenne un souffle inexistant, pour que nous restions à égalité. J’essaye de te maintenir, bloqué entre mes cuisses musclées par l’équitation, et tu souris, attrape au vol les deux anneaux qui pendent au bout d’une chaine d’or blanc. Les alliances de mes parents. Avec la chevalière que m’a offert mon créateur avant que je le quitte, ce sont mes seuls bijoux. Tu tire dessus, en douceur, j’accepte de me détendre et t’offrir un baiser, abandonnant quelques instants notre lutte pour en profiter simplement. Histoire Niels Petersen Je me souviens du Noël 1999. J’avais 9 ans, il neigeait sur Copenhague, j’avais déboulé les escaliers le matin, tôt. J’étais encore un peu crédule à l’époque, j’avais crié “Il est passé, il est passé !” ou autre connerie du genre, réveillant mes parents pour avoir droit à notre rituel du matin de Noël. j’avais dû attendre que mon père prépare le petit déjeuner, séparant déjà les cadeaux en tas. Ceux avec leurs prénoms, ceux avec le mien. J’avais toujours le plus gros tas. Mais dans tout ça, je me souviens surtout de la cartouche de pokémon rouge. J’ai passé mes vacances dessus, rêvant moi aussi d’attraper 151 créatures fantastiques. J’y jouais encore plusieurs mois plus tard, une fois placé dans un centre pour orphelin. Mais c’était pour chasser la vision de mes parents tordus par la maladie, pour ne pas penser qu’un jour où l’autre, j’y passerais aussi. Je suis resté quelques semaines, jusqu’à ce que Niels se débrouille pour me récupérer. A l’époque, je savais pas pourquoi il n’était pas atteint par la maladie, et aussi peu inquiet de l’attraper. Mais il connaissait mes parents, je le connaissais depuis ma naissance. C’était mon parrain, c’était mieux que l’espèce de mouroir pour enfant. Il avait pu récupérer des affaires, à moi, à mes parents, et on est allés chez lui. J’ai pu enfin pleurer. On a déménagé rapidement, il estimait Copenhague trop peuplée et préférait une petite ville de Finlande à la place, où il avait un pied à terre. C’était pour ma sécurité, j’ai compris l’année suivante que ce n’était pas pour la sienne et qu’il ne risquerait jamais rien de la merde qui avait emporté mes parents. J’ai jamais su s’il m’avait hypnotisé tout ce temps, s’il s’était simplement débrouillé autrement pour boire, mais je n’ai jamais été en danger à ses côtés. Il m’a protégé quand les vampires ont pris le contrôle - quand il y a aidé - il m’a élevé et rassuré quand j’avais peur de dormir. Il a été ma sécurité, il est devenu ma famille, je suis devenu son esclave, officiellement. Il ne m’a jamais traité comme tel. Avec lui, j’ai appris ce que j’ai voulu, m’intéressant très fortement à la nouvelle société qui se mettait en place. J’ai fait une licence de lettres classiques, puis science po, sans jamais avoir honte de n’être qu’un humain alors que la majorité des autres étaient des vampires. Quand Niels estima que j’étais assez formé, nous voyageâmes en Europe, et… Je sentais bien qu’il attendait quelque chose, avec une certaine inquiétude, sans comprendre quoi pendant un moment. Il me fallut attendre mes 37 ans pour réaliser qu’il voulait que je demande ma transformation. Il voulait être sûr que c’était mon désir, mais sincèrement, qui aurait eu envie de rester à vie avec un statut tout juste égal à celui d’un chien ? Je quittai le foyer familial vers 45 ans, avec un accès à un compte assez rempli pour voyager un moment sans me soucier de rien, mais nous sommes au final toujours restés en contact. Même sans oublier mes parents, c’est lui qui m’a élevé. C’est lui qui m’a permis de devenir ce que je suis maintenant… Håkon Ragnvaldr J’étais plutôt heureux de ma carrière politique. J’avais commencé à mon premier siècle et demi, après avoir beaucoup voyagé. Domicilié à Copenhague depuis une dizaine d’années, travaillant dans le management personnel - coach de vie, tout à fait, quand y’a des pigeons à plumer, pourquoi se priver ? -, j’avais fait le parcours classique. Associations politisées, liste électorale, conseiller municipal, adjoint au maire, maire… Ca ne suffisait pas. J’ai mis du temps à avoir un poste dans la chambre des ministres. Créer des alliances, magouiller, payer des pots de vins… La seule limite que je n’ai jamais dépassé, c’était celle de mon corps. J’ai même déjà réussi à me débarrasser d’un ou deux vieux cons qui pensaient pouvoir acheter mes faveurs. Jamais trop compris pourquoi, je suis pas du genre midinet, plutôt discret sur mes aventures, d’ailleurs. Pas vraiment ce qui m’intéressait. Et enfin, j’ai pu soulever une fraude de l’émissaire du Danemark. Et m’asseoir à sa place, vu qu’il avait été destitué et que, par conséquent, sa ligne de succession tombait à l’eau. J’avais un peu plus de quatre siècles, et c’était là que je retombais sur lui. Håkon. Ca m’avait déjà vexé, la première fois, qu’il ne me reconnaisse pas alors que moi, si. On s’était déjà vu, c’était une connaissance de Niels. Pendant le Soulèvement, un peu après, aussi. Niels ne m’a jamais empêché de venir participer aux discussions d’adultes, même quand j’étais gamin, mais j’avais pas envie de lui parler à l’époque. J’avais été poli mais m’étais installé dans un fauteuil à les écouter d’une oreille, le nez rivé sur mon gameboy. Il avait pas plus changé qu’à notre seconde rencontre, où j’avais eu envie de me venger qu’il ne me reconnaisse pas en le draguant - ou était-ce l’inverse ? - sans réel succès vu qu’on a fini par se taper dessus. Il a gagné juste parce que j’avais à peine dépassé mon premier siècle ! Pourtant à la base, c’est pas vraiment mon genre d’homme. Je suis plutôt à trouver sexy quelqu’un qui passe son temps son nez fourré dans un livre, et avec qui je peux discuter des heures métaphysique et concepts abstraits. Au moins cette fois me reconnut-il. Pas comme le descendant de Niels - toujours pas - mais comme la tentative de drague échouée. Ca aurait dû en rester là, et pourtant, un siècle après, il fut celui vers qui je me tournais quand je décidai de présenter ma candidature au poste de Dirigeant Suprême, quelques mois après le départ de Kingslay, poussé par le fait de m’être retrouvé dans une ambassade en pleine prise d’otage. Håkon est dur en affaires, mais comme il ne voulait pas le poste… Ca m’a évité de négocier avec les deux autres. Ca n’a pas été immédiat, mais j’ai réussis à remporter le siège de Dirigeant Suprême. Mon discours d’investiture a concordé avec les souhaits de bonne année à la FEPS entière. Mine de rien, j’avais beau être assuré et avoir bien préparé la chose, j’avais clairement le trac. |
Lun 7 Jan - 19:36 Claes P. Petersen
Messages : 53 |
Félicitations, tu es VALIDÉ ! Holala! Les libres et terroristes n'ont qu'a bien se tenir ! C'est toujours un plaisir de te lire et bon courage avec les dossiers de Claes Tu peux dès à présent remplir ou mettre à jour ta fiche de joueur, et ensuite, recenser ton personnage ! Ensuite, n'hésite pas si tu as envie à :
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Mer 9 Jan - 21:35 Engel F. Schwarzen
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