Stella Cinis
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Une vaste pandémie frappe l’humanité au cours de l’an 2000. Fléau divin, raté biologique ou simple régulation naturelle, l’origine du virus “Necrosis” est inconnue. Plus virulant que la peste bubonique, Necrosis tue en quelques jours ses hôtes, à grands renforts de fièvres, de vomissements et de nécroses des tissus sensibles (muqueuses) ainsi que de plaies. En quelques mois, la population mondiale chute de plus de moitié, ouvrant une immense brèche pour la race vampire, demeurée jusqu’alors tapie dans l’ombre.
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Alyosha Thaln
Messages : 713
Métier : Lieutenant de la milice - section IVC
Lieutenant grognon
Alyosha Thaln
Lieutenant grognon


Prénom(s) : Alyosha, Vesper, Leony
Nom(s) : Thaln
Surnom(s) : Aly, Lyosh, Lyosha, Lysha, etc.
Âge : 207 ans
Âge apparent : 22
Nationalité : Dannois
Métier : Milicien
Autre : Mal dans son corps, plusieurs cicatrices qu'il déteste


Alyosha Thaln



Alyosha se tient éloigné, de préférence, de tout ça. Il sait que l'esclavage existe, mais... Chez les autres, et c'est mieux ainsi. Il fuit, de toute évidence, et garde les yeux fortement serrés dans l'espoir de ne pas avoir à se remettre en question






Avatar venant de... OC, Ajgiel



Description mentale


Aimable, ce serait bien le dernier mot qui viendrait à l’esprit pour décrire Alyosha.
On le fréquente la plupart du temps dans le cadre du travail. Lorsque l’on est du côté des miliciens, on a affaire à quelqu’un de rigoureux, parfois même rigide, qui n’aime pas déroger aux codes ou règlements établis. Même dans un cas où cela pourrait semblait plus pertinent… On peut apprécier le fait qu’il soit toujours parfaitement sérieux, dans les clous. Si on se retrouve du mauvais côté, à avoir commis une infraction dont il doit s’occuper, toutes ces qualités semblent détestables. Pas la peine d’essayer de négocier ou de le corrompre. Plus jeune, lorsque cela l'énervait trop, il était capable de sauter sur son adversaire pour chercher à le déchiqueter, sans réfléchir aux conséquences ou à sa capacité à gagner. Avec le temps et le grade, il se retient - pour éviter de donner un mauvais exemple - mais lorsqu'il est en civil, il a tendance à se battre facilement, quitte à être blessé : il est bien trop entier.

Incapable de mordre ou de se faire mordre volontairement, il garde une distance raisonnable avec les esclaves. Boire à la bouteille, c'est parfait pour lui, nécessaire pour sa survie, mécanique. Pas de plaisir là dedans.

Dans la vie privée… Il ne semble pas avoir de vie privée réellement. Lorsqu’il autorise quelqu’un à rentrer chez lui, c’est avec une répugnance évidente, comme si on violait son intimité en posant simplement les pieds sur son paillasson. Il vit toujours dans l'appartement de son créateur, son "maître" qui malgré ce qu'il voudrait a trop marqué son esprit pour qu'il l'oublie, encore assez présent dans son sommeil pour être toujours dans sa vie. Tout comme son protecteur, son modèle, son premier amant, qui a modifié définitivement sa manière de voir les hommes.

Alyosha n'est pas frigide, simplement, il refuse de laisser rentrer les autres dans sa vie. Un pseudonyme, draguer en boite, s'envoyer en l'air de préférence en bandant les yeux de l'amant temporaire et ne jamais donner de nouvelles, voilà qui est parfait pour lui. De préférence, il évite de dormir avec un potentiel amant, refusant de se montrer vulnérable, craignant d’avoir un cauchemar face à quelqu’un qui pourrait comprendre un peu plus ce qu’il a vécu, cette peur insidieuse et absurde qu’on lui reproche d’avoir été un bout de viande. Totalement irrationnellement, il craint de revenir à cet état et refuse de laisser un autre avoir du pouvoir sur lui.

Lorsqu’il se sent seul, il n’est pas surprenant de sa part qu’il vienne s’installer sur le canapé de quelqu’un qu’il apprécie, sans spécialement parler énormément ou semble être intéressé par le fait d’interagir avec un autre : il a simplement besoin d’une présence pour quelques heures, rien de plus. Si c’est un collègue, il invoquera certainement le besoin de travailler sur une affaire. La durée du temps passé à squatter montre généralement son état.


Description physique


Alyosha n’est pas quelqu’un de particulièrement épais ou grand. Il avoisine le mètre 75, tout juste, et peut faire penser à ses adolescents qui viennent d’avoir une crise de croissance brutale, car il est tout en longueur, paraît presque trop fin. Son visage anguleux est marqué de plusieurs cicatrices, la plus voyante barrant son nez, la suivante traversant sa lèvre inférieure et la dernière marquant sa pommette gauche. Il cicatrise lentement, malgré son âge, et saigne facilement du nez. Ses cheveux cuivrés sont courts, ondulés, voire même frisés lorsqu’il lui pleut dessus, tombent souvent devant ses yeux d’une absinthe très claire qui pourrait tirer vers le doré. Tout comme le reste de son corps, son visage est marqué par de nombreuses tâches de rousseur plus ou moins prononcées.

Il est rare qu’on le voie plus que bras nus, même s’il porte toujours des protège-poignets ou des bracelets larges pour cacher les deux cicatrices de sa tentative de suicide. Il a gardé une pudeur évidente qui lui fait éviter de se montrer. Trop mince, trop couvert de cicatrices qu’il déteste. Son dos, certainement, est ce qu’il répugne le plus de montrer. Il y a les petites brûlures rondes, au niveau des hanches mais également sur ses fesses et l’intérieur de ses cuisse, même sur le scrotum, surtout la marque d’ébouillantement qui lui a marqué tout le bas des côtes, revenant même sur les flancs. Il présente quelques cicatrices encore sur les cuisses, une plus marquée, certainement la plus vieille, au dessus du genou. Toute son attitude physique montre à quel point il n'aime pas son corps.

Au niveau de l’habillement, il semble qu’Alyosha n’ait jamais essayé de faire beaucoup d’efforts : il porte du noir ou du blanc - pour des questions d’assortiment des couleurs - rarement autre chose. Sa seule fantaisie semble être le vernis à ongles mat qu’il utilise, variant les couleurs au gré de ses envies. Lorsqu’il travaille, il veille à être impeccable et qu’on ne puisse rien lui reprocher. Jamais.

Histoire


“Alyosha !”

L’adolescent se figea sous le ton de reproche de son maître, les doigts soudainement tremblants contre les pages du livre qu'il était en train de dévorer. Son regard se leva vers le vampire et il déglutit. Pas la peine de faire semblant : il savait qu'il n'avait pas le droit d'être là, pas sans autorisation. Pas sans s'être bien conduit. Qu’il respecte les règles de la maisonnée était une chose, mais, pour Leony, ce n’était pas “bien se conduire”. Il avait encore du mal à comprendre les limites, l’intérêt de les respecter, et son maître le fixa avant de soupirer. Il ne dit rien de plus, lut simplement dans le regard de son esclave que celui-ci avait compris qu’il n’avait pas le droit d’être là. Pire, il le savait, certainement.

Sourd aux explications précipitées du roux, le vampire l’attrapa par le poignet, le releva d’une secousse brusque. Il ne chercha pas à l’hypnotiser, quoi que ce soit. Il le frappa jusqu’à la limite de l’inconscience et l’abandonna ensuite dans ce qui servait de chambre à Alyosha, avec un simple ordre.

“Ne fais pas de bruit. Sinon, tu es mort.”

Toujours, lorsqu’il y avait du monde, Leony le cachait. Il n’avait pas le droit de bouger, de faire de bruit. Comme si sa présence devait être dissimulée. Ignorant tout des règles vampiriques, Alyosha ignorait que son maître les enfreignait avec lui. Il l’avait trouvé il y a quelques années, en train de chercher à manger. Alyosha ne se rappellait plus de sa mère, morte d’après son père peu après sa naissance, mais la mort de son père était encore gravée dans sa mémoire. Son père n’avait jamais fait confiance aux autres, n’avait jamais voulu rejoindre un camp, s'éloigner de la ville, pour des raisons qu’il n’avait jamais expliqué à son fils. Mais, une fois seul le gamin d’une dizaine d’années n’avait pas tardé à se faire capturer. Il était tombé sur Leony, qui l’avait ramené chez lui directement. Le vampire le cachait depuis, lui prélevant son sang de temps en temps, l’éduquant comme il le souhaitait.

Il ne fallut pas longtemps du point de vue de Leony pour que son esclave devienne docile, grandisse comme il le souhaitait. Parfois, il regrettait les marques qui parsemaient la peau de celui-ci. Cette fois où, trop énervé parce que l’esclave avait volé de la nourriture - il avait oublié de le nourrir, et alors ? - il l’avait ébouillanté, passant ainsi plusieurs jours à devoir le soigner sans lui-même pouvoir boire dessus. Mais lorsqu’il s’était assuré qu’Alyosha ne désobéirait pas, après quelques six d’années à s’occuper de l’humain, il l’avait poussé à partager son lit. Les coups avaient continué, pour lui apprendre encore ce qu’il devait y faire, pour le plaisir de le sentir se crisper sous la douleur brutale d’une goutte de cire brûlante sur la peau, parfois de la flamme de la bougie directement, ou un couteau, une cigarette, plongeant un peu plus l’humain dans le mutisme.

Alyosha n’avait pas tenu longtemps avant de chercher à s’ouvrir les veines. En le trouvant en train de se vider de son sang, en réalisant qu’il pouvait encore lui échapper, il y avait eu une bascule chez Leony. Il s’était assuré, ensuite, de rendre l’esclave clandestin dépendant de lui, de son sang, usant de ses pouvoirs pour créer pour eux ce qui semblait correspondre à une vie idéale…

“Quand est-ce que ça s’arrêtera ?”

Les mots étaient tombés dans le silence feutré de la chambre, et Leony eut un froncement de sourcils. Il était rare que son esclave parle, lui-même appréciait plutôt le calme et le silence. Ses doigts s’égarèrent sur le visage marqué du plus jeune, ses épaules couvertes de tâches de rousseur, pour l’enjoindre à parler.

“Vous allez vous lasser ? Quand je ne serai plus à votre goût.”

Alyosha détourna le regard lorsqu’il réalisa qu’il n’aurait pas de réponse, penchant docilement la tête lorsque son maître voulut boire. Son regard se teinta d’envie lorsque Leony lui présenta son poignet entaillé et lui-même but goulûment, avec un plaisir son dissimulé, acceptant ensuite sans peine de s’endormir dans les bras du mort. Il fut réveillé par un poid sur ses hanches, qui le bloquait contre le matelas, et cria lorsqu’il vit le poignard, sans comprendre exactement ce qui allait arriver.

“Shh… Lyo, je ne te laisserai pas te fâner…”

La douleur fut si intense qu'il pensa mourir. Il le fit, mais seulement temporairement, contrairement à ce qu'il aurait préféré. Si au moins cela avait marqué le début d’une nouvelle vie...

Rien ne changea vraiment. Leony prit un autre esclave, pour apprendre à Alyosha à se maîtriser, mais il ne le laissait toujours pas sortir, il continuait à apprécier lorsque la douleur se mêlait à leurs jeux sexuels, la seule différence était qu'à présent, il utilisait l'argent s'il souhaitait marquer Alyosha. Il ne le montrait à personne, souhaitant l’exclusivité sur la créature qu’il s’était taillé sur mesure. Lorsque le jeune vampire demandait, c’était toujours “bientôt”, ou “une autre fois”. Les excuses s’égrainaient et l’appartement dans lequel il était confiné, son monde depuis près de 30 ans, semblait l’étouffer de plus en plus. Il restait toujours enfermé dans sa chambre lorsqu’il y avait des invités, et jamais le vieux vampire ne donnait d’explication là dessus.

Tout changea lorsqu’un jour la porte fut ouverte par quelqu’un d’autre que Leony. Alaric Vesper, milicien chargé de faire respecter la loi aux vampires, en pleine perquisition. Et il semblait que dissimuler un humain, et surtout séquestrer un vampire, n’était pas la seule infraction commise par Leony ces dernières années. Alyosha eut honte d’hésiter à avouer tout ce qu’il avait vécu, de ressentir de la réticence à aider à couler celui qui avait représenté son univers toutes ces années. La culpabilité et la peine vinrent s’ajouter lorsqu’il sentit son créateur mourir, la honte… Le soulagement vint, plus tard.

Ce fut Alaric qui se chargea de lui donner une identité, de le faire exister aux yeux de Copenhague. Il accepta même de lui donner en prénom son nom de famille, rechignant à ce que le troisième prénom soit celui du vampire qui l’avait séquestré. Il lui permit également de garder les possessions de Leony, comme dédommagement, même si l’esclave, qui le répugnait, ne resta pas longtemps chez lui avant de partir chez Alaric. Ce fut Alaric qui lui apprit, en secret, qu'on pouvait faire l'amour sans contrainte, qu'on pouvait aimer et vivre libre. Naturellement, Alyosha suivit les traces de son nouveau protecteur pour rentrer dans la milice. Il éprouvait une satisfaction évidente à s’assurer que d’autres ordures comme Leony ne restent pas impunis.

La mort d’Alaric, lors d’une enquête, lui fit se détacher un peu plus des autres, durcir son caractère. Il ne porta jamais officiellement le deuil de son premier amour, se contentant de porter celui de son protecteur, en toute discrétion. Il sembla se focaliser encore plus sur son travail, en faire le centre de sa vie. Il resta un long moment ainsi, à travailler d'arrache-pieds, jusqu'à ce que le capitaine Von Hertling reconnaisse son mérite et le nomme lieutenant. Il s’acharne depuis à faire de Copenhague une ville la moins corrompue et délinquante possible.

Dim 8 Avr - 20:51 Alyosha Thaln
Anonymous
Invité
Invité

Félicitations, tu es VALIDÉ, jolie tête rousse grognonne qui saigne facilement du pif ♥️ !


Qu'est-ce qu'elle est triste cette fiche... Et encore tu nous as épargné un passage émotion avec la mort d'Alaric (merci pour les économies de mouchoirs, je sens que j'en aurais passé une boite !). Heureusement pour le lieutenant rouquin, la suite sera plus jouasse ~ (n'est-ce pas, Monsieur "j'aime les pâtes" ?)

Tu peux dès à présent remplir ou mettre à jour ta fiche de joueur, et ensuite, recenser ton personnage !


Ensuite, n'hésite pas si tu as envie à :



Amuse toi bien sur le forum ♥️

Dim 8 Avr - 23:48 Invité
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