Stella Cinis
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Une vaste pandémie frappe l’humanité au cours de l’an 2000. Fléau divin, raté biologique ou simple régulation naturelle, l’origine du virus “Necrosis” est inconnue. Plus virulant que la peste bubonique, Necrosis tue en quelques jours ses hôtes, à grands renforts de fièvres, de vomissements et de nécroses des tissus sensibles (muqueuses) ainsi que de plaies. En quelques mois, la population mondiale chute de plus de moitié, ouvrant une immense brèche pour la race vampire, demeurée jusqu’alors tapie dans l’ombre.
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Anonymous
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Prénom(s) : Yunru
Nom(s) : ///
Surnom(s) : ///
Âge : 26 ans Âge réel – 28 ans Âge sur les papiers
Âge apparent : ///
Nationalité :Algérienne
Race : Bouc
Standing : Luxe
Orientation : Demisexuel, Panromantique
Métier : Péripatéticien
Autre :Il a quelques cheveux blancs qu’il essaie tant bien que mal de dissimuler.


Yunru



Yunru n’aime pas ça, pour lui, chacun devrait être libre de ses actes. Pour lui, on n’achète pas des gens, ce n’est pas normal. Par contre, il garde ça sous silence et vit sa vie docilement, histoire de vivre paisiblement.
 





Avatar venant d'un original dont je ne connais pas l'artiste ><



Description mentale


Bavard, Yunru ne l’est pas qu’un peu ! Il n’y a pas un instant de calme lorsqu’il est dans les parages, à croire que sa vie est tellement remplie qu’il a besoin de s’en décharger régulièrement à travers la parole.

Yunru parle tout le temps, chaque jour de la semaine et chaque heure de la journée, il parle même en dormant. Il a toujours quelque chose à raconter et, même s’il vous a conté son histoire passionnante, il vous la racontera d’une différente manière et, sans que vous ne vous aperceviez, vous serez coincé avec cette pipelette pour charmante compagnie.

Le silence est synonyme de malaise pour Yunru, il ne connait pas le bien être d’un silence partagé où aucun mot n’a besoin d’être prononcé pour que les deux se comprennent. Yunru a cette envie incontrôlable de toujours tout extérioriser, de toujours tout expliquer –que ce soit sa manière de penser, ce qu’il faisait ou comment il imaginait le futur–, de vouloir à tout prix que personne ne se méprennent sur ses actes ou ses paroles. C’est le genre de personne maladroite qui dit toujours le mot de trop alors qu’il ne fallait pas, comme pour combler quelque chose de manquant.

A contrario, lorsque le bouc est seul, c’est une vraie tombe. Ce sont les seuls instants de silence où il se sent vraiment à l’aise.

Rancunier, oh ça oui, il n’y a pas pire que lui. Il pardonne très difficilement et n’oublie jamais. Il tient même un petit carnet où il note toutes les offenses subites ! Il adore se venger, c’est tout un art pour lui. La moindre petite action ne lui plaisant pas est une excuse pour se venger et il n’hésite pas à se plier en mille pour se venger à la hauteur de l’affront à laver.

Par contre, instinct de survie oblige, il dose toujours ses vengeance. S’il y a très peu de chance qu’il s’en sorte vivant, Yunru saura calmer sa soif de vengeance, la minimiser, sans pour autant l’éliminer. Il lui piquera juste sa montre préférée u lieu de mettre des punaises dans son lit. Après tout, Yunru sait se tempérer, non ?

Agile, le bouc l’est tant physiquement que mentalement. Il arrive toujours à s’adapter à une situation, qu’elle soit bonne ou mauvaise, pour en tirer profit. Il cerne plutôt facilement les gens et assez rapidement, mais a beaucoup de mal à cerner les intentions de ses proches. Il est aussi très perspicace ou logique. Il sait analyser et comprendre très vite.

Par contre, Yunru ne se considère pas comme intelligent. Quelqu’un d’intelligent est une personne qui sait beaucoup de chose, apprend encore plus de chose et sait appliquer ce qu’il a acquis très facilement. Autant le bouc est conscient de posséder le dernier point, autant il est tout aussi conscient qu’il oublie très facilement les choses, donc là, ça devient très difficile d’appliquer des leçons que l’on a oubliées.

Timide. Il l’est à sa façon. Tout petit déjà, il se cachait derrière sa mère lorsque d’autres enfants voulaient jouer avec lui. Il ne savait pas vraiment d’où ça venait car, une fois qu’il connaissait les enfants, sa timidité s’envolait. Ce trait de caractère a fini par se rendre plus discret au fil des années mais il est toujours là, présent au plus profond de lui.

Il a, par exemple, du mal à aborder les inconnus  même si ce sont des clients du bordel. Son cerveau tourne toujours à plein régime lorsqu’il est dans une situation inhabituelle ou face à un inconnu. Il se sent toujours gauche au début, même s’il ne l’est pas toujours, empoté et horriblement… horriblement… lui-même ne saurait dire horriblement quoi. Juste, horriblement.

Il ressent toujours ce besoin, la première fois qu’il rencontre quelqu’un, de se cacher. Se cacher n’importe où, par n’importe quel moyen. Pour qu’on ne remarque pas qu’il est là, pour qu’on ne le cerne pas, il voulait juste se faire oublier par le monde e l’observer de loin de peur de gêner.

Cependant, après une petite discussion de cinq ou dix minutes, que le courant passe ou non, toute timidité est oubliée et le côté bavard et gamin de Yunru resurgit de plus belle. Ce n’est qu’une question d’acclimatation.

&

Gamin. Si l’on devait choisir un seul adjectif pour définir le bouc, ce serait celui-ci. C’est le résumé du caractère du bouc. C’est un grand gamin qui aime emmerder son monde. 

C’est un petit délinquant sans pour autant être un criminel. Il aime ce que les gosses aiment, les sucreries, les jeux en plein airs, être un petit chef et les chiots. Il réagit aussi comme un gamin. Il se vexe facilement, ne boude jamais très longtemps et a besoin qu’on lui répète les règles plusieurs fois avant qu’il ne les imprime définitivement.

Pourtant, Yunru est bien un adulte et il se demande parfois lui-même pourquoi il continue de se comporter comme un morveux. Il ne sait pas mais, la chose dont il est sûr, c’est qu’il est à l’aise et se sent en sécurité lorsqu’il agit comme tel car… On ne veut jamais vraiment de mal à un enfant, non ?

Outrancier et même plus ! D’un côté, il aime appuyer sur ce trait de personnalité lorsqu’il est face à un « coincé du cul » comme il les appelle pour se régaler de leur mine choqué ou leur regard mi-condescendant mi-rebuté. D’un autre, il ne contrôle vraiment pas ses petits écarts de langage dans sa vie de tous les jours.

C’est sa façon de parler, sa façon de penser, sa façon d’être et Yunru ne veut pas la changer. Il veut rester qui il est. Il faut appeler un chat un chat. Ça sort comme ça, tout seul, et il ne le réprime pas. Il ne voit pas pourquoi il ne pourrait pas appeler un con un con ou une branlette une branlette.

De plus, il n’est pas qu’outrancier par sa parole mais aussi grâce à ses geste. Il a la fâcheuse tendance de mimer tout ce qu’il raconte et d’exagérer ses expressions faciale lorsqu’il veut exprimer une émotion forte. Alors je vous laisse imaginer sa tenue lorsqu’il est en colère ou raconte une histoire grivoise.

Anxieux, c’est un trait de caractère qu’il ne veut pas montrer. Yunru est un grand anxieux et est souvent sujet à des crises d’angoisse. Il n’est pas né comme ça, sa mère n’était absolument pas anxieuse et son père n’était pas connu pour cela.

Il a développé ce trait de caractère en arrivant dans la maison close, en côtoyant son maître. Ce fut le déclencheur de l’anxiété du bouc. Il a cette boule qui lui obstrue l’estomac et la gorge à chaque instant de la journée, à chacune de ses actions. Il se sent toujours observé, quoiqu’il fasse, noté sur son maintien, sa tenue, ses paroles.

Il a constamment cette peur de mal faire, et il le sait qu’il fait beaucoup de chose mal, ce qui lui cause souvent des remontées acides et de nombreuse crise d’angoisse. Car, en effet, la punition du maître lorsqu’il n’exécute pas les bons ordres est terrible et Yunru ne veut pas la vivre une seconde fois.

Têtu, ce n’est pas un bouc pour rien. Lorsqu’il veut faire quelque chose, Yunru le fait, quoiqu’on lui dise. S’il pense qu’il a raison et que la personne en face veut lui démonter qu’il à tord, il se butera dans son idée et fera la sourde oreille malgré le fait qu’il sait que sa pensée est alambiquée.

Très lié à son caractère têtu, Yunru est foncièrement honnête. Il dit ce qu’il pense, de façon un peu trop franche, et il est ce qu’il dit être. Si quelqu’un veut lui faire changer d’opinion, il ne voudra pas car ça va à l’encontre de ce qu’il est et donc de son honnêteté. Il est très buté sur ce point là.

Par contre, mauvais point pour lui, il a beaucoup de mal à faire évoluer ses idées et sa façon d’être car Yunru à l’impression de se trahir lui-même et donc son honnêteté en évoluant. Pour lui, l’évolution est synonyme de conformisme. C’est beaucoup plus simple pour lui de faire évoluer sa pensée, sans avoir l’impression de se trahir, en entendant plusieurs personnes discuter entre elles que d’être inclus dans la discussion car il n’a pas l’impression d’être forcé dans ce cas.



Description physique


Taille : 1,68m moui, c’est plutôt petit pour un garçon, je vous l’accorde.

Poids : 69 kg il a quelques poignées d’amour et prend facilement des hanches, comme une femme tout à fait, mais chut ! Je n’ai rien dit~

Carrure : Ectomorphe …ou autrement dit : corps de lâche.

Musculature : Peu développée mais présente il a quand même des pecs à tomber ! Et ses épaules, ses épaules~ Mon pêché mignon !

Cheveux : Noirs et très longs, ils lui tombent au niveau des fesses. Il adore s’occuper d’eux avec des masques, des shampoings bien moussant pour les rendre tout doux et qu’on les tresse. Oh et les papouilles dans les cheveux, c’est le saint Graal ! C’est son talon d’Achille, il devient tout de suite un chaton ronronnant.

Yeux : Bleus foncés, tirant vers le noir. Deux billes où l’orage se déchaîne, ses yeux sont vraiment… particuliers, presque hypnotisant. Ils font tomber toutes les minettes du centre de reproduction.

Peau : Mate et tannée par le soleil, aussi belle que du caramel, j’y croquerai bien dedans~ Ou un café au lait à savourer !

Race : Bouc, possède deux cornes et une queue de bouc noire. Sa petite queue est juste trop adorable ! Elle s’agite dans tous les sens dès qu’il ressent une émotion forte ! Et… vous voulez que je vous dise un petit secret ? Pour le faire mourir de gêne, touchez-lui la queue. Sa tête est hilarante, vous verrez !

Voix : Profonde dont le souffle vient du ventre et qui vous fait frétiller d’envie !

Sensibilité : Sensibilité aiguë au niveau de l’intérieur des cuisses, de la plante des pieds, du milieu du dos et de l’abdominal gauche second étage. Ne pas sur stimuler la zone des cuisses et des pieds. C’est le meilleurs moyen de le rendre fou, de rire ou de plaisirs, il se tortille dans tous les sens et c’est vraiment beau à voir quand il vient de vous faire chier ou que vous voulez juste le voire craquer et vous supplier de le faire passer à la casserole.

Santé : Maladie de Bouveret : accélération brusque du rythme cardiaque. C’est assez surprenant lorsqu’on assiste la première fois à une de ses crises. Le voir se stopper, se boucher le nez et ne plus respirer c’est vraiment… bizarre.

Démarche : Lunatique ou comme je l’appelle, la démarche du bourré ! Et le plus marrant, c’est que c’est naturel chez lui !

Particularité(s) physique(s) : A des canines plutôt pointues pour un hybride herbivore, possède quelques grains de beauté, notamment dans le dos. Il est myope et possède donc une paire de lunette qu’il ne porte pas souvent d’ailleurs sauf pour se donner un air de secrétaire sexy !

Particularité(s) sportive(s) : Est excellent en sprint et en relais. Il travail son endurance en courant régulièrement et en allant à la piscine. Possède également de bonne capacité en escalade.

Signe(s) distinctif(s) : Il a un fort accent algérien, notamment pour la prononciation des r. C’est très exotique   je trouve, ça fait un peu penser aux ambiances moyennes orientales !

Style vestimentaire : Minimaliste, souvent uniquement vêtu d’un sarouel ample et noir. Il veut se faire désirer le Yunru~ Mais à croire que c’est une bouillotte ambulante car il n’est pas plus vêtu en hiver !

Tatouage(s) : Marqué au fer rouge au niveau de la hanche droite du logo de son centre d’élevage et il déteste qu’on la touche, j’vous préviens !

Piercing(s) : Guiche et lobe gauche. Il faut bien la chercher la guiche, à croire qu’il l’a fait exprès le coquin~

Histoire


Ma mère :

Ma mère, elle était belle. Ma mère, elle était aimante. Ma mère, elle était grande gueule. Ma mère, elle n’était pas très intelligente. Ma mère, elle aboyait plus qu’elle ne mordait. Ma mère, elle était humaine.

Ma mère, elle ne se laissait pas faire. C’était un peu la chef des autres femmes de notre bloc, du moins c’est comme ça que je la percevais. Elle me poussait d’ailleurs à m’affirmer, suivre son exemple, et devenir le petit chef des enfants. Elle me disait qu’aucune de ses portées avec mon père n’avaient donné un bouc aussi timide que moi.

Petit à petit, je m’affirmais avec les autres enfants et je suivais l’exemple de ma mère, m’autoproclament chef de mon groupe d’ami. Les autres étant assez suiveurs et de nature soumise me suivaient plutôt facilement.

Par contre, je me souviens d’un gros chien loup d’un autre bloc avec qui je me bagarrai souvent lors de nos promenades dans les montagnes. Il n’était pas dans mon box, donc je ne le voyais que lors de nos sorties mais je le détestais. Il se moquait toujours de moi et essayait de me rabaisser car il était un prédateur et j’étais sa proie qu’il disait. J’lui cassais toujours la figure et on finissait bien souvent punis.

Ma mère me félicitait toujours lorsque je revenais d’la promenade avec un œil au beurre noir et les poings usés. J’étais toujours heureux quand ma mère me félicitait et semblait fière, alors j’redoublais d’effort pour la rendre heureuse. Je pense que ce chien loup se souvient toujours de moi aujourd’hui vu l’nombre de fois où on a dû finir à l’infirmerie.

Ma mère était à cette époque la chose la plus importante de ma vie. La seule personne importante au monde. J’adorais dormir tout contre elle, contre sa chaleur, lors des nuits d’hiver dans l’étable.

Ma vie n’avait de sens que grâce à elle alors, même si je déplaisais aux autres hybrides de la ferme et aux éducateurs, j’faisais tout pour lui plaire à elle.

J’me souviens de nos balades où, malgré mon âge, elle n’me laissait jamais gagner à nos concours d’escalade ou à nos courses. Je me souviens de son regard pétillant lorsque je faisais mon petit chef avec mes amis. Je m’souviens de ses fausses remontrances tout en me prenant sur ses genoux et en me câlinant lorsque je pleurais à cause d’une douleur ou d’un bobo au cœur. J’me souviens de ces soirs silencieux où elle dormait avec toutes ses portées, son ventre tout rond, lors du départ des plus grands. Je me souviens des lendemains où j’revenais plus amoché des balades entre enfants –et le chien loup complètement défiguré– pour l’entendre rire. Je me souviens d’son attitude fière et orgueilleuse lorsqu’elle me ramenait au doc’ qui s’occupait de ses portées. Je me souviens avoir essayait d’lui mordre les doigts et de copier l’attitude de ma mère, la rendant d’autant plus fière.

C’était mon soleil et j’étais son satellite, rien ne comptait plus qu’elle à mes yeux.


Mes éducateurs :

J’en ai eut trois. Mais je ne me souviens bien que de deux, voire que d’un… Paradoxalement, je ne me souviens très bien que du premier. Ma mémoire fonctionne peut être sur le long terme, qui sait.

Le premier s’appelait Abderahmen, il travaillait dans la ferme de reproduction où j’suis né. C’était plus mon soigneur qu’mon éducateur. A la ferme, on n’avait pas vraiment d’éducateur, on vivait presque en semi-liberté. Il aimait beaucoup ma mère, du moins c’est l’impression qu’j’en avais, et s’occupait quasiment de toutes ses portées. C’est donc, logiquement, le vampire avec lequel j’ai passé toute mon enfance.

Il était assez passif, ne me réprimandant ni moi ni ma mère sur notre caractère de feu, et était très gentil. Il ne bronchait jamais quand j’essayais d’lui manger les doigts.

Du plus loin que j’me souvienne, c’est le seul vampire que j’ai vraiment apprécié. Il m’faisait de jolis cadeaux –j’ai réussi à garder avec moi toute la collection d’animaux en bois qu’il me sculptait–, il me donnait toujours des friandises quand j’allais l’voir pour les visites médicales –ce qui me changeait beaucoup de la bouffe sans goût de la ferme– et m’emmenait très souvent en balade à la montagne avec ma mère et ses autres portées.

Il aimait ma mère, ça se voyait comme le nez au milieu d’la figure quand on l’connaissait un minimum. Il aimait, par extension, ses enfants aussi. Il s’occupait de nous, on pouvait l’voir à n’importe quelle heure du jour ou de la nuit puisqu’on connaissait ses horaires de travail et, quand il n’était pas là, on pouvait toujours aller l’attendre dans son bureau puisqu’il nous en avait donné les clés. Il nous chérissait.

Ma mère le savait. Je n’sais pas si elle l’aimait vraiment mais, c’était son seul contact masculin en dehors des reproducteurs –même si ça n’l’empêchait pas d’aller voir du côté des femmes avec les autres mères porteuses–, et elle savait qu’elle bénéficiait d’un traitement de faveur comparés aux autres, alors elle en profitait. J’pense que, pour elle, c’était un ami très proche.

Pour moi, c’était mon papa.

J’avais dix ans quand je fis la rencontre du second et treize lorsque je lui fis mes adieux. Nan, oubliez c’que j’ai dit. J’vais la refaire. J’avais dix ans lorsque je fis la rencontre de ce sombre connard et treize quand j’lui fis un fuck et que j’me suis cassé.

J’me souviens même plus d’son nom pour vous dire à quel point c’était un connard méprisable et qu’il fallait l’oublier. Fehrid, Farid, ou Fethir, un truc du genre.

Il était perfectionniste, avait la cravache et la babouche facile –mon cul s’en souvient encore d’ailleurs–, et il nous empêchait d’nous amuser, l’enfer !

J’me souviens plus très bien de comment c’était mais j’sais qu’on était aux portes du désert dans une ferme animalière. J’me souviens plus des autres mais, moi, j’avais des corvées. Que j’faisais plus ou moins bien. J’sortais les animaux, j’nettoyais leurs boxs et j’les ramenais à la maison.

Ces trois années sont assez flous dans ma mémoire mais, sans que je sache pourquoi, j’suis pas resté plus longtemps que ça comparé aux autres. En sortant, j’savais parfaitement lire, compter, m’exprimer et je savais parler anglais. … Un peu. Pas beaucoup. Pas très bien. Pas très bien du tout.

C’n’est juste pas une langue faite pour moi, c’est tout !

Visiblement, j’avais une belle gueule et un caractère de petit démon qui plaisait puisque je fus transféré de mon centre de dressage merdique à une agence d’esclave en plein centre d’Alger, la capitale, à deux pas de la mer.

J’ne sais toujours pas comment j’ai réussi à me démerder –qui sait, peut être que les éloges sur ma splendide personne sont arrivées jusqu’à leurs oreilles- mais j’ai vite fini dans la plus luxueuse des maisons qu’il m’ait été donné de voir jusque là. Ce n’était vraiment pas grand chose en sois, juste une maison plus grande e à la décoration plus agencée qu’la moyenne, mais pour le petit hybride des campagnes qui n’a jamais vu de grande ville que j’étais, c’était impressionnant !

C’est là-bas que je fis la rencontre de mon dernier éducateur : Ali. C’est le vampire le plus… bizarre que je connaisse ! Il était au p’tit soin avec moi, encore plus qu’Abderahmen, je pense que les rôles étaient inversés avec lui. C’était la boniche et nous étions les maîtres. Ou plutôt manager comme il le disait. J’pense qu’il devait s’écraser devant nos désirs puisque le centre semblait assez huppé et devait maintenir un certain standing, ses supérieurs devaient lui infliger une pression monstre.

Il y avait des hybrides vraiment pas banals (des girafes, des narvals –qu’ils appelaient licornes des mers–, des lions noirs –je me demande toujours comment ils ont joués avec les gènes pour arriver à ce résultat–, des guépards, des rhinos, des flamants roses, des éléphants, etc)  et le peu d’humain qu’il y avait étaient tous plus splendides les uns que les autres.

… Je n’sais toujours pas comment j’ai fini par atterrir là-bas, j’vous l’jure !

Enfin, bref, le truc était vraiment vraiment vraiment important et friqué en gros. Ali me faisait souvent faire des photos. J’aimais bien, même si c’était chiant avec le maquillage qui coulait à cause de la chaleur. Il encourageait mon côté gosse chieur, en disant que ça plaisait à la clientèle, mais je faisais attention à n’jamais le pousser à son paroxysme trop régulièrement.

En effet, peu après mon arrivé, une de leur licorne des mers avait disparus du jour au lendemain et cela ne semblait avoir surpris personne. A elle, on lui demandait d’entretenir son caractère diva capricieuse.

Il ne fallait pas oublier qu’Ali était avant tout un vampire avant d’être notre manager et qu’son but était de faire du chiffre. Les clients aiment avoir d’la résistance parfois mais trop d’résistance tue la résistance.

Finalement, je n’sortais pas vraiment hors de la maison sans être accompagné d’Ali, mais je ne m’en plaignais pas. Il m’emmenait à la plage –pour les photos ou juste pour étaler la marchandise aux yeux des clients–, m’achetait des glaces –et à peu près tout ce que je voulais–, l’intérieur de la maison était plutôt plaisant et les autres esclaves ne venaient pas me chercher des poux.

Ali m’apprit également à plaire tout en s’adaptant à mon caractère et à on rôle de gosse insupportable. J’avais quatorze ou quinze ans, j’sais plus trop, quand il passa à la vitesse du dessus. Normalement, tout les hybride de la maison étaient certifiés vierges à leur sorite, histoire de se faire plus de fric, mais les ristournes, tout le monde les connait ! Il y a juste à plus toucher au cul six mois avant la vente et c’est aussi serré que le premier jour.

L’autre petite ristourne, c’est que je fus vendu avant l’âge légal. Ils avaient besoin de place, un acheteur se montrait très intéressé par ma petite personne et les papiers, c’est facile à modifier avec un peu d’argent ici.

C’est donc au bout de trois ans très confortable au sein de la maison que je fus vendu et que je parti pour Copenhague chez un très bon client que je devais satisfaire d’après Ali.

Chez mon maître.


Mon Maître :

Au début, j’le comprenais pas. Littéralement, j’comprenais pas c’qu’il me disait. J’pense qu’il s’en est vite aperçu. J’le trouvais gentil sans plus au début. C’était un businessman le mec, ça se voyait, mais il me traitait plutôt bien.

Vu comment je galérais avec l’anglais, il m’a directe fait apprendre le danois. On verra pour les autres langues plus tard, il avait dit. Bizarrement, le danois, j’lai vite assimilé. J’sais pas si c’est la langue qui est plus facile ou la façon dont il avait de me l’enseigner mais en moins d’un an, j’pouvais me démerder tout seul.

Au début, j’étais timide avec lui et assez distant. J’le connaissais pas encore et il me paraissait impressionnant. Il l’a compris. Il a essayait de me mettre à l’aise, en me caressant dans l’sens du poil. En me donnant pas trop d’clients et quand il m’e donnait c’était des habitués très doux et patients.

Grâce à lui, j’ai pris la confiance. J’ai trop pris la confiance.

Il paraissait distant mais gentil, aussi doux qu’un agneau. On aurait dit qu’c’était un mélange entre mon papa et Ali. Sauf, qu’au-delà d’être un vampire, fallait pas oublier que c’était un businessman.

J’n’étais pas un bon investissement et les mauvais investissements finissent au bordel du port.

Le bordel du port, c’est l’enfer.

J’sais pas pourquoi, ni comment, ni quand –un an après en fait mais le temps est multiplié par dix dans l’bordel du port– mon maître m’a récupéré. J’ai failli crever aussi en contractant j’sais pas quelle maladie et j’devais être un investissement suffisant pour qu’il dépense pour me guérir.

J’suis resté chez lui le temps de me remettre mais j’étais plus comme avant. J’savais comme il était, un vrai businessman, et j’voulais plus jamais retourner au port.

Ce mec était le diable.

Il me l’a dit clairement. Il voulait pas qu’je sois un doux agneau docile, il m’avait pas acheté pour ça mais fallait que j’sois coopératif.

J’ai donc reprit mon rôle auprès d’lui mais j’ai changé à cause de lui. Et il le sait. Il en est heureux. Il m’aime bien j’pense –je lui rapporte un joli pactole avec mes habitués – mais moi, je ne le crains pas moins.

Il sait faire du mal sans te toucher. Il m’laisse juste en pâture à ses clients et l’tour et joué.


Mes clients :

Pfou, j’sais même pas combien j’en ai eut ! J’ai mes fidèles, bien sûr, mais au bout de dix ans, j’tiens plus les comptes.

Au tout début, j’n’en avais pas beaucoup et ils étaient tous plutôt gentils et pas pressants. Limite, ils faisaient plus attention à moi qu’à leurs envies. J’m’en plains pas, non, mais payer pour limite pas tremper l’biscuit… franchement c’est jeter d’l’argent par les fenêtres !

Il y en avait un qui venait souvent, c’était Jeannot. J’devais vachement lui plaire parce que, des fois, il payait juste pour me voir à poils, me caresser et s’branler. J’comprenais pas –et je comprends toujours pas– pourquoi il faisait ça. Surtout qu’il payait aussi d’autres séances pour baiser ! Ce gars est un mystère pour moi.

Mais bon, moi si j’fais du fric –et donc que j’en gagne un petit peu pour moi– j’crache pas dessus.

J’y ai même prit goût.

Au bout de quelques semaines, un mois ou deux pas plus, j’ai commencé par avoir plus de clients et tous n’étaient pas aussi attentionnés que mes premiers. La majorité même. 

Ils n’étaient pas brutaux, les malabars du patron leur auraient cassé le gueule sinon –on n’casse pas la marchandise du patron dans c’bordel–, mais ils en voulaient pour leur argent. Ils avaient raison mais moi j’voulais pas. J’les refoulais après une ou deux baise quand j’en avais marre, voire avant même qu’ils me touchent.

Je faisais ma fine bouche. Et c’est remonté jusqu’aux oreilles du patron.

J’ai donc changé de bordel et donc de client.

C’était… l’enfer.

Déjà, les clients du bordel du port, ils n’payent pas beaucoup donc, forcément, il y a masse de clients. Beaucoup trop pour le nombre de  pute qu’il y a au bordel. J’sais pas vraiment combien on était là-bas mais vu la taille du bordel, on n’était clairement pas assez pour la masse de client qui attendait.

Sauf que, bien sûr, fallait qu’on ait un bon rendement vu le peux qu’on coûtait, donc fallait se dépêcher. Pas plus d’cinq minutes par client.

Contenue graphique:

Alors là, j’peux vous dire que j’faisais plus la fine bouche. J’avais plus l’choix.

En hiver, ce fut l’enfer. Les nuits étaient plus longues donc forcément, il y avait plus de clients ! En plus, j’m’étais choppé la crève ou une merde de c’genre mais c’n’était pas ça qui allaient les déranger. Eux, tant qu’il n’y a pas de sperme qui s’écoule le long des jambes, ils s’en foutent.

En gros, j’me suis retrouvé dans un abattoir en batterie version bordel avec trop d’client par nuit pour ma santé mentale et physique et j’ai failli y laisser ma peau.

C’est avec ces clients que j’ai commencé une vieillesse prématurée. A cause du stress, tout ça, vous savez. J’ai eut masse de ch’veux blancs sur la tête, il y en a même qui m’ont fait une p’tite mèche blanche. J’ai eut quelques rides aussi, surtout au niveau des yeux. J’étais très fragile surtout, tout l’temps fatigué et c’est grâce à la maladie qu’j’ai put r’tourner au bordel de la ville.

J’avais compris la leçon et c’était remonté aux oreilles du patron.

J’ai plus eut d’clients pendant un bout de temps –trois ou quatre mois j’pense–, histoire que mon corps se répare. Puis j’ai retrouvé le peu d’habitué qu’j’avais dont Jeannot !

J’l’aime bien Jeannot, il est cool.

Puis, petit à petit, j’me suis fait un p’tit nom dans l’bordel. J’étais pas le préféré de tous mais assez pour avoir mes propres clients qui ne venaient que pour moi. Assez pour pouvoir baiser quasi comme je l’souhaite –puisque je prévoyais des scénarios pour la plupart de mes habitués–. Assez pour ne plus avoir à me soucier de mon rendement de la journée.

Assez pour m’y sentir comme à la maison.

 
Ma maison :

Mes maisons plutôt. Bien sûr, il y a la ferme de mon enfance, ce sera à jamais la plus belle et la plus précieuse de ma vie mais, à Copenhague, j’en ai eut deux autres. Enfin, même si j’aurai préféré n’en avoir qu’une.

La première est de loin ma préférée ! Grande, spacieuse et confortable, que demander de plus ?

J’ai même réussi à me faire une place au premier étage –celui des prostitués les plus prisés par les clients– ! J’l’aimais bien. Il y avait des coussins et des fauteuils partout, elle ressemblait à un vrai nid douillet.

J’m’en occupais bien aussi ! Des fois, je prenais le rôle de barman quand j’travaillais pas la nuit, d’autre fois, j’nettoyais les parties communes et encore d’autres fois, j’allais faire les courses pour la petite ruche.

J’m’entendais bien avec les autres, enfin bien à ma façon. J’adorais les embêter mais j’faisais attention à pas les blesser. J’vois as l’intérêt de blesser quelqu’un qui m’a rien fait.

J’adorais ma chambre ! Avant, j’dormais sois dans les parties communes sur les canapés douillet en hiver ou sur le carrelage en été –j’voulais pas aller dormir au second étage dans les chambres où toutes les putes faisaient leurs passes, nan, très peu pour moi–.

Quand j’ai obtenu ma chambre, à mon retour du port, j’ai directe su comment j’allais la décorer. Mon thème serai grotte des milles et une nuits. J’ai réussi à m’démerder pour donner l’impression de se plonger dans une grotte tamisée malgré les fenêtres –installer des rideaux semi-transparents rougeâtre et c’est dans la poche ! – et j’ai fait ramener plein de tapis, de coussins et de petites banquettes aux couleurs carmin pour le côté oriental. J’voulais pas installer de lit, j’aimais dormir par terre.

Le petit bouquetin s’était créé son antre du diable comme j’aimais le répéter à tout va !

Puis, il y a eut ma seconde maison. J’n’y suis pas resté longtemps, à peine un an –de mes dix-sept ans à mes dix-huit ans– mais ce fut l’année la plus longue de ma vie.

Le bordel du port. Ou plutôt le petit hangar mal isolé.

Dans l’bordel du port, on était tous parqué dans des petits boxs de moins de cinq mètres carrés avec un drap tout rêche pour pas qu’on prenne froid –un sac de patate, j’pense, perso–. La bouffe –quand on pouvait bouffer– était dégueu, pire que celle de ma ferme !

En hiver, on y crevait de froid –j’ai failli y passer d’ailleurs en choppant j’sais pas quelle maladie– et en été on fond sur place. On n’bougeait quasi pas, on restait à attendre que le client finisse et que le suivant reprenne le boulot de celui qui s’était barré. On s’voyait quasi pas entre putes d’ailleurs ! Chacun était dans son box et basta !

C’était éprouvant. Tant physiquement que moralement. J’étais bien contant de retrouver ma première maison.

Et surtout, mon premier ami.


Mon ami :

J’ai pas grand-chose à dire sur lui, vraiment. Ou peut être que si, justement, j’ai tellement de chose à dire que je ne sais plus quoi dire. Au début, on était plutôt distants, j’le connaissais pas, il m’connaissait pas, on était nouveaux, il y avait pas de raison de causer.

Puis il s’est mêlé d’autre chose que d’son cul ! Il me disait « sois plus gentil », « arrête de faire ton gamin », « tu devrais être plus sérieux », de quoi il se mêlait lui ?!

A partir de là, j’ai commencé à faire de sa vie un enfer. Blagues, crasses, insultes, piques, tout était bon pour le faire sortir de ses gonds.

Là, on  n’était pas amis du tout, au contraire ! On était les meilleurs ennemis du monde.
J’étais d’mauvaise foi aussi, j’savais qu’il disait ça pour mon bien mais j’suis têtu moi, vous l’savez.

Après mon année d’absence, à mon retour, tout avait changé chez moi bien que je joue toujours mon rôle de gosse insupportable.

A partir de là, la relation à changé entre le chat d’égout –comme j’aime ben l’appeler– et moi. Elle a évolué en quelque chose de plus profond, de plus sincère, de plus solide. J’sais pas vraiment comment ça s’est fait mais c’était… naturelle cette évolution.

C’est la seule personne sur qui je peux compter dans cet enfer.

Mer 4 Juil - 20:28 Invité
Anonymous
Invité
Invité
Hellow~

Petit DP, désolée, mais le 8 est passé et j'aurai besoin de quelques jours supplémentaire pour terminer l'histoire de Yunru et faire une relecture globale.
Je mets beaucoup de temps pour faire cette fiche alors que c'est l'une des plus courtes que j'ai faite, je ne sais pas pourquoi ;^;

Encore désolée pour le temps que je prends ><

Edit : Et c'est enfin fini o/
Lun 9 Juil - 15:26 Invité
Alyosha Thaln
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Lieutenant grognon
Alyosha Thaln
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Hello ici !

Ulysse et moi avons relu ta fiche, et nous avons quelques petits points à voir avec toi avant de la valider !

Principalement, c'est l'aspect anxieux de la personnalité de Yunru qui nous semble paradoxal avec sa nature "enfantine" et rancunière. Nous avons du mal à voir comment il peut être aussi spontané (certainement jusqu'à se mettre dans des situations désagréables) si à côté il est anxieux. Serait-il possible d'avoir plus d"'explications à ce niveau là ?
Egalement, deux petits points ne demandant pas nécessairement modification :
Sur l'aspect rancunier, il évite bel et bien de l'être avec les vampires ? C'est dangereux pour un esclave, il n'y a pas grand chose qui le protège, pas même l'argent de son maître.
Et le danois. La langue officielle mondiale étant l'anglais, il n'est pas beaucoup parlé, et pas spécifiquement pas tous les danois, du coup, cela peut fortement limiter Yunru par rapport à ses clients (mais du moment que tu sais que ce sera potentiellement un problème, ce n'est pas à modifier forcément, nous voulions juste le souligner ^^)

Quelques petites fautes aussi qui se sont glissées là :
"le côté bavard et gamin de Yunru resurgie de plus belle" => ressurgit
"Alors je vous laisse imaginer sa tenu " => tenue
"quelques poignets d’amour" => poignées
"on pouvait l’voire" => voir
"c’était son seul contacte " => contact
"’est grâce à la maladie qu’j’ai put r’tourner au port de la ville." => bordel et pas port (si j'ai bien suivi ^^)
"Assez pour m’y sentir comme à la maison.[/justify]" => balise en trop

Et voilà, n'hésite pas à nous MP si tu as des questions, courage pour les petites corrections ^^
Mar 31 Juil - 16:46 Alyosha Thaln
Anonymous
Invité
Invité
Et coucou \o/

Je réponds avec ce compte-ci :3

Pour les deux points qui ne sont pas à changer :
Pour le côté rancunier, bien sûr il se refrène avec les vampires et n'ira pas se venger sauf rares exceptions (c'est à dire les clients qui apprécient un peu de défiance et encore ce sont de toute petites vengeances du genre "je te pique un vêtement", "je t'attache les mains pour pas que tu contrôle le jeu cette fois"... c'est même pas des vengeance en fait xD)
Et pour l'anglais, yep je sais ! C'est pour corser les rp Wink

Pour les fautes, je m'en occupe dans la journée o/ Elles m'ont échappées ces fourbes D8

Et pour la contradiction anxieux et gamin/rancunier, oui, je sais que c'est complètement contradictoire et Yunru en est conscient aussi.
Ses côtés gamin et rancunier est naturel chez lui, ce sont ses traits de caractères de base. Son côté anxieux est venu plus tard (il ne se serait d'ailleurs jamais déclaré sans son maître) et les trois se font la guerre.
Ils sont constamment en opposition. Des fois, c'est le côté anxieux de Yunru qui l'emporte et il renonce à ses vengeances et gamineries par peur de représailles et d'autre fois c'est le côté gamin rancunier qui l'emporte et écrase son anxiété bien qu'elle soit toujours présente au fond de son esprit et qu'il le regrette par la suite. Là son anxiété est décuplée et selon sa vengeance il n'en dort plus de peur que son maître attende qu'il baisse sa garde pour lui tomber dessus :3

Voilà, voilà, j'espère que c'est crédible ce que je raconte xD

Des bisous <3
Ven 3 Aoû - 11:19 Invité
Anonymous
Invité
Invité
Et voilà, les fautes sont corrigées o/
Sam 4 Aoû - 11:49 Invité
Alyosha Thaln
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Lieutenant grognon
Alyosha Thaln
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Félicitations, tu es VALIDÉ par Ulysse et moi ♥️ !


Merci pour ces corrections et explications Smile J'espère que tu vas bien t'amuser avec Yunru sur le forum Smile

Tu peux dès à présent remplir ou mettre à jour ta fiche de joueur, et ensuite, recenser ton personnage !


Ensuite, n'hésite pas si tu as envie à :



Amuse toi bien sur le forum ♥️

Dim 5 Aoû - 12:30 Alyosha Thaln
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