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Prénom(s) : Alyssandre, An, Leslie, Jhonny, Keigo, Haku... Nom(s) : Itô, Arashi, Toarn, Mallet, etc… Darell ? Darell, ça semble être le bon. Surnom(s) : Please, don’t. Age : 648, 318, 256… Au choix. Age apparent : 29 Nationalité : Japonais / Danois Race : / Standing : Bon Orientation : sabre cherchant fourreau accueillant Métier : travaille dans la sécurité de la RBBC Autre : Bindi au milieu du front Alyssandre Darell Un bon esclave est un esclave dans la RBBC. C’est vrai, à part ça, à quoi servent-ils ? Sacs de sang sur patte à la vie trop courte pour influer sur quoi que ce soir, ils feraient mieux d’être produits en batterie et parqués à vie. Au fond, que les vampires aient des esclaves, c’est presque contre nature. Ne pourraient-ils pas être autonomes et s’affranchir des mortels ? Tseng, Final Fantasy VII Description mentale Tout est une question d’équilibre. Rester en parfait équilibre, ne tomber ni dans un passé illusoire, ni traumatique. Savoir que les deux existent, qu’aucun n’a d’impact sur soi. Rester tourner vers l’avenir sur ce fil étroit de la sanité. C’est facile. Il suffit de se focaliser sur sa tâche, de ne jamais laisser son esprit vagabonder. Où pourrait-il bien aller ? Les juxtapositions rendraient la réalité à la limite de la cohérence. Ne pas penser “je suis faux”. Je suis.. Je suis ce que je vois dans la glace le matin, ce hochement de tête à mes collègues en arrivant le soir, ce sourire qui n'atteint jamais mes yeux et ne dévoile jamais mes dents. Une distance naturelle avec les autres, les inférieurs, qui paraît-il me donne un charme certain. Rigoureux, j’aurais assez de charisme pour être à la tête de ce petit service spécial de sécurité de la RBBC. J’ai refusé. Plus que tout, j’ai besoin d’aller sur le terrain, de me dépenser, de rester occupé. Je suis la violence d’un ouragan lorsqu’il s’agit de faire mon travail. La puissance d’un corps qui percute un autre pour rouler dans la boue, le sang, la merde des autres. Peu de choses me détournent de ma tâche. Chien de garde, homme de l’ombre, assassin, tueur, monstre, aucun de ces noms ne me gêne, aucun d’eux ne me va moins bien qu’un autre. Et malgré tout, lorsque j’en arrive à devoir reposer ma carcasse que je reconnais à peine comme mienne, tout se mélange à nouveau. N’étais-je pas passionné, ardent ? Je peine à m’en souvenir, je peine à me rappeler ce qui vient réllement de moi. Je suis en pleine construction, je cherche ce qui me correspond. Mes goûts, mes dégoûts, quelque chose de vrai. Le poivron frais qui croque sous la dent. Le sang au chocolat. Je déteste manger épicé. Je sais pourquoi je tiens mal l’alcool. Seul, je rassemble ces informations comme le plus précieux des trésors. C’est moi, réellement moi. Et personne ne doit le savoir, sauf... Lui. Il n’y a qu’un homme pour qui je n’ai aucun secret. Un homme pour qui ma haine se mêle à ma reconnaissance. Tout était plus simple avant lui. Tout est plus vrai à présent. Qu’il siffle, et j’accoure. Description physique J’ai 648, 300, 256, 50 ans… J’ai toujours un peu de mal à savoir. Mon visage paraît toujours avoir cette trentaine asiatique, à qui on pourrait aussi bien donner 20 que 40 ans. Ce sont mes expressions qui me vieillissent ou me rajeunissent à loisir. Qu’importe l’âge où on s’est fait vampiriser, de toute façon ? L’évidence, en tout cas, ce sont mes origines asiatiques. Mes yeux en amande, couleur ambre, ma peau loin d’avoir la clarté du lait, le bindi au milieu du front qui pourrait faire indien, bien que je n’en aie pas les traits. C’est une tâche de naissance, parfaitement centrée, hasard de la génétique. Mes cheveux noirs, raides, courant jusqu’au haut des fesses, accentuent mes traits sérieux. Je les attache souvent, au minimum je les ramène en arrière. Pourtant, je suis grand, bien plus que la moyenne asiatique, athlétique. Musclé par mon métier, du moins le pensais-je un temps. Marqué par le temps, des cicatrices dont je peine à resituer l’origine. Celle de mon torse, la plus marquante me semblait-il, un coup de sabre dans ma jeunesse, qui aurait pu me tuer. D’autres, sur les bras, les jambes, le reste du corps, traçant une carte discrète de ce qu’aurait dû être mon histoire. Puis il y a celles plus rassurantes, dont je suis presque persuadé de la véracité. Sur mon flanc, sur mon dos, elles ont à peine 50 ans. Mais j’ai eu trop peur, elles sont restées dans ma chair comme un rappel de ma propre impuissance et de ma jeunesse. Histoire Résumé en dates
Keigo Itô Pour me connaître il faut d’abord connaître celui que j’étais dans mes premières années. Keigo, de mon nom de naissance, n’était qu’un gamin né durant l’ère Kokā, vers le début de celle-ci. Père tenait un dojo, le dojo Itô. J’apprenais déjà la voie du sabre, certainement pour reprendre le dojo familial, ou que sais-je encore, lorsque les échanges internationaux furent forcés. Je n’y comprenais rien, la politique n’ayant jamais été mon fort, mais lorsque nous vîmes les samurais du Shinsengumi en action, je sus que c’était ce que je voulais être. Je m’engageai dès que je pus, contre l’avis de mon père. Je partis sous le nom de Keigo uniquement, à 14 ans, manier mon sabre pour des idéologies que je ne saisissais pas, empli de la certitude que je faisais le bon choix. Jusqu’à la dissolution du groupe, je fus dans la 7e division. Haku Arashi Comme tous ceux qui survècurent, j’eus une place dans l’ombre du gouvernement. Cela m’allait, je n’avais jamais eu une personnalité solaire. Je ne cherchai pas à recontacter mes parents ou à retourner auprès d’eux. Il me fallut quelques années pour découvrir que le petit Seigneur que je servais ne sortait jamais au soleil, à raison. La terreur qui me saisit en découvrant sa nature fut étouffée par ses pouvoirs mentaux, et, je l’avoue avec honte, je finis par être charmé par cet être inhumain. Assez pour qu’il n’aie pas à me forcer à rester à ses côtés, et que j’accueuille avec reconnaissance la transformation qu’il m’imposa. Je restai Arashi, Haku pour les plus intimes qui se limitaient à mon Seigneur, de longues années. Je me plais à penser qu’il forgea le Japon moderne, et que j’étais sa lame. Que j’avais mon utilité à ses côtés. Et lorsqu’il n’eut plus besoin de moi… Encore aujourd’hui, j peine à savoir ce que j’ai ressenti. Peine, soulagement ? Je ne voulais pas de la liberté, je voulais le voir grandir encore et encore. Mais j’étais un outil performant, et il aurait été ridicule de me remiser. Il m’introduisit auprès d’un de ses amis, un humain dans la politique, qui fit bon usage de moi un temps. Jusqu’à ce que ma lame se retourne contre lui pour lui éviter l’agonie de Necrosis. Je fus contacté par l’assemblée des Enfants de la Lune, et participai activement au Soulèvement. Au renversement du gouvernement japonais. Puis je disparus. J’étais un Enfant de la lune, un enfant des ombres, ce n’était pas à moi d’apparaîtr sous la lumière des spots. Je quittai pour la première fois le Japon seul, changeant de nom. Tueur à gages me vint naturellement. Leslie Toran Je devins Leslie Toran en 2322, après avoir été Shawn Johnson un temps, en me mettant au service du professeur Darell. Il avait besoin de quelqu’un pour effectuer les sales besognes pour lui, pour le laboratoire dont il tenait les rênes, et, somme toute, cela m’allait parfaitement. Depuis le temps, j’ai oublié comment il m’a contacté. Je m’occupai pour lui des sales besognes, j’en avais l’habitude. Je le laissai se permettre quelques familiarités, tant qu’elles ne dépassaient pas les patpats qui me semblaient méprisants sur le haut de mon crâne, lorsqu’il était satisfait de moi. Je tuais ou torturais pour lui, chassais, contre un salaire et un toit. Il faut avouer que Shawn n’avait pas été ma plus grande réussite, j’étais sans argent lorsque je me mis au service du professeur Darell. Cela dura un temps, jusqu’à ce qu’une violente dispute éclate, lorsqu’il tenta de m’envoyer dans le lit d’un partenaire commercial à qui je plaisais. Si ma lame est à louer, je ne suis pas une pute. Leslie Toran disparut le lendemain, au profit de Hans Damen. Hans Damen On m’a donné pour mission d’éliminer Iakob Miresson. Pourquoi supprimer un politique quelconque à Copenhague, je n’en sais rien. Cela n’a aucune importance, je ne compte pas rester dans la ville. Je n’ai pas peur, même après m’être renseigné pour lui. Ce n’est pas à un outil d’avoir peur, et la main qui me dirige est parfaitement assurée. Je réussirai. Notes du professeur A. Darell Le 20 juillet 2245 Le sujet est revenu du centre, tous les tests ont été validés et il n’est ni porteur de Necrosis, ni d’aucune maladie dégénérative ou débilitante. Sa mère n’a pas pu fuir assez loin, je pense qu’elle sera rattrapée rapidement. Je suis encore sidéré qu’elle ait jeté son nourrisson sur moi pour fuir. Il a été estimé à un an par sa dentition et l’évolution de la fontanelle. J’ai déjà un grand projet pour lui. Le 12 novembre 2253 Le sujet réagit très bien à l’implantation de souvenirs. Son esprit m’est entièrement perméable, et lorsque je ne suis pas en train de le façonner, il s’exerce au sabre et apprend les mathématiques, les langues, l’histoire et la géographie. Il a encore quelques moments de conscience où il demande à ses professeurs où il est, mais mon contrôle sur lui se perfectionne de jour en jour. Le 9 avril 2271 Le sujet a à présent 27 ans, son corps est prêt pour une transformation. J’ignore l’effet que celle-ci aura sur sa psychée fragile. Je l’ai poussé mentalement jusqu’à ses 2 siècles, et son corps commence à ne plus être en adéquation avec ce qu’il a à l’esprit, ce qui est problématique. Ses périodes de conscience sont plus violentes. Le 6 janvier 2299 Dresser un jeune vampire dont la psychée n’est pas en adéquation avec la réalité m’a demandé plus de temps que prévu, et les incursions dans son subconscient ont dû être plus régulières, presque constantes les premières années. Je caresse l’espoir de le voir prêt d’ici quelques années. J’ai encore besoin de verrouiller son esprit, de manière à m’assurer que personne ne puisse défaire mon oeuvre. Le 19 juillet 2322 Je rencontre officiellement mon sujet demain, sous le nom de Leslie Toran, demain. Nous ne nous connaissons pas, officiellement, et j’ai hâte de découvrir l’homme que j’ai créé de toutes pièces. Je l’ai mis en situation assez souvent pour savoir qu’il ne me décevra pas. Le 5 mai 2448 Il est parti ! Sa colère a été sublime, époustouflante, assez pour que je ne cherche pas à le retenir et m’introduisant dans son esprit. Il changera de nom, certainement, ignorant que j’ai déjà rentré dans son esprit les prochains qu’il prendra. Je garderai ainsi sa trace sans faire d’effort : il m’appartient. Le 12 octobre 2450 Je n’ai plus aucune nouvelles de mon sujet, depuis déjà 3 mois. Sa cible est toujours vivante. Le 3 janvier 2451 J’ai retrouvé sa trace. Il se fait à présent appeler Alyssandre Darell, travaille à la RBBC et ne réponds plus aux ordres. Alyssandre Darell Il ne m’a même pas tué, à peine un peu abîmé, et c’est mon premier vrai point de repère. Les choses auraient dû être simples, je n’avais pas posé de question. Aller à Copenhague, m’introduire chez lui… J’ai été repéré, nous nous sommes battus, il a eu le dessus. J’ai refusé de parler, au début, c’est ce qui l’a fait entrer dans ma tête… Et tout faire exploser. Du moins, déchirer le tissus de mensonges de ma vie pour y superposer les souvenirs que j’avais occulté. Que mon créateur avait pris le soin d’enterrer, les moments où il n’était pas dans mon esprit à le formater… J’ignore encore comment j’ai supporté ça sans me retrouver simplement à baver dans un coin, si c’était sa dextérité ou autre chose, mais je m’en suis sorti. Ensuite, nous avons parlé. Iakob sait être persuasif. Promesses de vengeance, menaces savamment dosées, tout ça a finit par me faire courber l’échine. Une fois qu’il a été assuré de ma loyauté et mes compétences, il m’a trouvé un nouveau nom et fait entrer dans le service de sécurité de la RBBC. Je ne sais encore s’il tient à ce que je sois ici pour une raison particulière ou s’il savait simplement que le travail me plairait. Ce fut le cas dès les premiers instants, et j’ai intégré rapidement le service le plus sale de la sécurité. Celui veillant à ce que les esclaves sortant et leurs nouveaux propriétaires ne parlent jamais. Je suis au courant de la réalité des choses au sein de la RBBC depuis une quinzaine d’années, et je sais qu’un jour, on estimera que j’en sais trop. |
Jeu 19 Avr - 23:42 Alyssandre Darell
Félicitations, tu es VALIDÉ par Dragan et moi-même ! En voilà un cerveau réduit en bouillie bien comme il faut ! Je souhaite bien du courage à Alyssandre pour aller de l'avant ~ Tu peux dès à présent remplir ou mettre à jour ta fiche de joueur, et ensuite, recenser ton personnage !
Ensuite, n'hésite pas si tu as envie à :
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Ven 20 Avr - 0:47 Invité
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