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Messages : 212 Métier : Diamantaire/Joaillier (boss) |
Prénom(s) : Charles Nom(s) : Asmodeus d'Ozran Surnom(s) : Son nom de frère est : Amduscias le Blanc Âge : 233 ans Âge apparent : 34 ans Nationalité : Française Orientation : Euuuh...Bonne chance ? Métier : Diamantaire et joailler, boss de sa propre marque de bijoux de luxe. Autre : Gravement malade étant humain, atteint d'alcaptonurie, son visage est veiné de bleu tout comme son corps de manière générale. Ses sclères noires sont le stade final de la maladie. Ses os sont également noirs. Anciennes traces de calcifications sur le visage, le cou, etc. Mauvaise vue extrême. Médiocrité en télékinésie mais c'est un puissant manipulateur mental. Il a rarement faim. Charles Au jour d'aujourd'hui on ne peut pas dire qu'il soit capable de s'occuper d'autre chose que de lui-même, puisqu'il est suivi par un psy, alors un humain...Son point de vue à ce sujet plus son état rendent la chose improbable. Pour l'instant. Alucard (Lord of Shadow 2) - CASTLEVANIA / Konami Description physique Ta lignée se veut pure, mais l'est-elle autant que ton père le clamait ? Comment ont-il fait, tes ancêtres, depuis les temps immémoriaux pour conserver cette race à travers leur sang ? Car tu descends d'une longue et vieille famille qui a toujours porté en elle des seigneurs et maîtres vampires. Cela n'a donc pas été une surprise quand le jour est venu pour toi. Tu as attendu d'être dans la fleur de l'âge, malgré la maladie, car tu voulais être éternellement fort, et ton père le voulait également. Alors il t'a fait ce cadeau. C'était ce que c'était pour toi. Tu ne voulais plus voir ce visage s'obscurcir encore jusqu'à devenir invisible dans les ombres, jusqu'à ce que tes os deviennent du sel noir. Le vieillissement était une donnée qui n'entrait pas en ligne de mire dans ton programme pour les cents, mille prochaines années. Ta peau est bleutée, veinée, striée de liserés foncés comme des affluents du Styx qui convergent autour de tes yeux, juste assez pour que ce soit élégant et effrayant à la fois. Quant à a décoloration de la peau...tu as vu le progrès de la maladie de jour en jour dans le miroir, cette chair qui changeait, dégénérescence génétique insupportable. Tes sclérotiques blanches, d'excellentes constitution sont devenues peu à peu sombres, tachées comme du thé imbibé sur une feuille. Puis le thé est devenu pétrole. Tu y vois mal, ça ne s'est pas résolu avec ta transformation, c'était une conclusion amère à tout ça, mais tu n'as pas eu le choix, personne ne l'a, aussi tu portes des lunettes pour travailler. Ces cheveux blancs sont aussi un signe d'hérédité fragile, à croire que tu as manqué une marche de l'évolution croissante que tes ancêtres voyaient pour toi. Cependant ta corpulence sied au regard, à ton regard. Presque 2 mètres pour voir le monde de haut, l'arpenter majestueusement, car ta voix est un mélange de glace pilée et d'orage. Tu trônes, tu ne t'assieds pas, tu écrases l'air autour de toi, tu ne marches pas, tu es ta propre statue de marbre, quoique qu'entamée depuis peu. En regardant tes mains on se questionne sur l'avancée de cette tare qui est descendue jusqu'aux ongles que tu as bleus foncés, les doigts maculés de sphères ténébreuses que tu prends soin de cacher sous des gants de velours noirs en permanence, quand tu ne décides pas de te ficher de la terre entière. Ces gants qui cachent comme te mettent à l'écart du goût des sens, de l'appréciation du monde, par peur, peut-être, parfois. Cette chevalière au majeur droit pourrait bien masquer un sinistre secret... et quand tu portes cette robe de cérémonie tout en velours rubicond elle aussi, tu deviens une de ces mânes perdues qui chassent les hommes jusque dans leur sommeil, pour découper le fil de leur vie. Tu n'es pas vraiment un prédateur, la vie, la mort te sont égales. Tu préfères planter tes orbes mordorées cerclées de pétrole dans les yeux de ta proie, l'assujettir jusqu'à la honte, et dévorer son âme comme les dieux absorbaient les fumées des offrandes. Non, tu n'es pas homme, ni séduisant, tu as des qualités qui se moulent vite en défauts, en faiblesses, et la chose que tu inspires le plus c'est la crainte farouche des hommes pour ce qu'ils ne peuvent nommer. Sous ces boucles ton sourire peut apparaître mais il est fantomatique, ni chaud, ni sensuel, ni aguicheur, il est une mimique froide, imitée, empruntée, et tes sourcils et tes yeux ne bougent pas d'un pouce lorsque tu t'y essaies. Tu ne portes guère de parures : ton corps est lui-même déjà assez tatoué par la souffrance comme ça. Description mentale Tu es sinistre, la plupart de temps un peu hors de ton corps, mais quand tu en prends possession alors chacun peut perdre son souffle, morts, vivants, morts-vivants. Tu es dense dans ce que tu dégages, mais tu n'inspires certainement pas la confiance ou l'amour. Tu n'as pas d'esclave dans ton entourage et tu n'en auras plus, ou bien ils porteront un autre nom, car ça ne fonctionne pas. Et puis...tes croyances te l'interdisent. Tu es aidé d'un majordome, parce que tu aimes déléguer, parce que tu aimes lui déléguer, celui qui sait lire ton silence comme un livre ouvert et que ton père a placé à ton éducation et ton service depuis ton plus jeune âge. Tu as besoin de lui pour te servir ton sang chaud avec un petit macaron au café, ou tout autre parfum en adéquation avec ton humeur, la saison...Exigent. Arno n'est pas ton bras droit, il est plus que cela, il l'est devenu par la force des choses, par le pli qu'a pris ton existence, il est loin d'être comme toi, et pourtant...Toi, le bloc de marbre sublime capable d'attendre des heures en pensant devant le feu de la cheminée dans des poses improbables que personne d'autre que toi ne sait tenir. Non personne. Tu sais, ces postures de statues qui sont trop tordues, trop enlacées pour avoir un quelconque confort, un quelconque équilibre. Doigts croisés, tu t'es reclus loin des plaisirs charnels quoique tu aies pu t'y plier, y concéder. Autrefois tu vivais cela par procuration, dans l'esprit de Drake, dans l'esprit de Samael, mais ce temps est révolu. Tu ne sors que rarement te mêler à la densité humaine. Les Anges Déchus t'ont façonné, pas elle, pas cette race faite à partir de glaise boueuse quand tu es né de l'or brut. La perfection est passée au large de cette planète, et même si tu as une estime immense de toi, tu sais que ce corps tacheté ne te portera pas aux nues. Ce n'est pas une quête au sens où on peut l'entendre. Mais tu ne manges pas n'importe quoi. Le sang que tu consommes provient des sacrifices que tu diriges toi-même en loup aguerri de ta meute de fidèles, dans les couloirs souterrains de ta demeure. Ce sang doit répondre à une charte d'exigence très particulière, et comme bon nombre de tes ancêtres, tu ne te nourris que d'un breuvage vierge d'étreintes charnelles, de maladies, dans l'absolu nécessité de ne pas te laisser souiller. Si tu y vois mal, ton flair est celui d'un œnologue quand tu ouvres les torses en deux de la gorge au pubis. Tu n'aimes pas le sang gras, tu préfères celui fruité de certaines âmes, mais tu cherches encore celui qui te rassasiera pour les siècles à venir. Une seule gorgée devrait suffire...encore faut-il trouver celui qui te laissera la prendre. Tu mords, douloureusement quand ça t'arrive, parce que l'on t'a mal appris, parce qu'on n'avait pas prévu que tu aies envie, que tu ressentes ne serait-ce qu'une fois l'envie de mordre à une gorge. Ce que c'est que de mordre à une gorge, et pas de boire un liquide recueilli comme un être "civilisé". Ta volonté de résister à cela était un gantelet d'acier, qui a pu s'émousser. La seule chose qui te préserve du faux pas dans le vide c'est ta détermination à créer, la poésie des lumières et des faces étincelantes, celle qui jaillit au bout de tes doigts ; l'artiste ne vit-il pas toujours dans les ténèbres ? Et puis...parfois, la vie demande un peu d'attention, celle toute naïve, candide, au bout de lèvres bleues. Elle te demande d'être ce clément que tu n'as jamais été, de lui laisser une chance de se faire regarder, admirer. Histoire « Baal, ton fils…tu ne peux pas le laisser entrer tant qu’il… » Tu sais que ton père te cache des choses, mais il dit que ton tour viendra, que tu lui succèderas car il est lassé et son rôle doit prendre fin. Tu trouves ça stupide de vouloir gâcher le baiser des Anges, mais tu ne dis rien, tu es encore jeune, tu es encore humain. C’est ce que le vampire aux cheveux noirs veut dire. Il ne peut pas te détester ouvertement alors il se contente de t’adresser des regards qui ne te font rien, d’envoyer de petites piques assertives. Tu lui feras manger sa jalousie, très bientôt, quand ton père ne sera plus là. « Tant que quoi, Empuse ? Il est largement en âge de connaître nos rituels. C’est la voie qu’il suivra, c’est la voie que nous suivons tous. Il n’est déjà presque plus humain. » Mais c’est contraire aux « lois », tu le sais, les humains en dehors des sacrifices retenus n’ont pas le droit de descendre dans le Temple. Si ton père et les vampires autour de toi t’en ont déjà parlé avec réserve et mysticisme, tu n’es pas excité comme tu devrais l’être, tu attends juste ce moment comme la révélation de ton existence, le droit suprême, le droit d’appartenir pleinement à ta race, car tu recevras prochainement le baiser de la Mort. Ça ne fait pas mal, ton corps t’a toujours un peu trahi, alors ça, ça ne fait pas mal. Tu as voulu tuer ton père sur le coup, puis tu es mort, et tu as accompli cette besogne dès ton réveil. Tu n’iras pas en prison car c’était sa volonté, son testament, tu es son miracle et il était heureux. Toi tu restes seul avec Arno, mais cette solitude et le début de grandes choses qui t’empêchent de dormir le jour, ou peut-être est-ce la faim ? Ce corps nouveau qui ne bleuira plus, ne subira plus les élans mortifères de l’ochronose. Tu es presque un dieu, tu touches du doigt le pouvoir, enfin, et cette sensation électrique n’a de cesse de t’étonner. Empuse est obligé de t’accepter désormais, et tu prends sa place, tu le chasses. Il n’avait pas voulu de ton père et encore moins de toi mais maintenant tu es un puissant et ta réputation te précède. Magnat de l’or, du diamant, homme exigeant, impitoyable, tu intègres la Nuit des Anges. Tu reçois le tatouage annelé autour de l’index qui symbolise ton rang et ton appartenance au culte, tu revêts le manteau de pourpre, fais goûter ton sang à tes frères, et commence à présider les cérémonies. Tu es un leader, un de ces maîtres silencieux qui font appliquer leurs choix et leurs désirs sans avoir à ouvrir les lèvres, sans avoir à hausser ses impressionnants sourcils noirs, quand tu as les cheveux blancs. Ceux qui ne le comprennent pas périssent généralement de ta main, car tu n’as pas de mal à tuer, pour toi c’est une simple formalité, comme signer un chèque. C’est amusant comme ton esprit est morcelé, tu n’as pas une bonne mémoire, tu ne puises guère de bonheurs, de souffrances, de chaleur dans ton enfance qui n'a pourtant pas été si malheureuse auprès de ton père, mais tu n’as jamais vraiment été un « petit garçon », tes traits étaient trop durs pour ça. Ton père qui ne l’est pas vraiment d’ailleurs, à qui tu en veux tant et tellement quand les souvenirs daignent refaire surface. Vous êtes des vampires, comment pourrait-il y avoir une quelconque notion de famille chez vous ? Mais tu dois beaucoup à cette lignée toute composée alors tu n’as jamais rien trouvé à redire sur la façon dont on t’avait éduqué. Plutôt à la bonne école ; tu as fréquenté des milieux aisés et respectables depuis que tu sais marcher, et malgré ta tare génétique, on appréciait tes sorties en société, même si tu parlais peu. Tu observais. Ces yeux au bleu azur originel ont été ton plus fidèle outil lors de tes jeunes années. On t’apprécie pour ce côté « prédateur distant », ou on ne t’apprécie pas. Tu n’as pas grand-chose à voir avec un animal pourtant, tu es plutôt mesuré, précis, réfléchi. La pire chose qui puisse désormais t’effleurer c’est la concupiscence humaine…la banalité t’agace et pourrait te rendre agressif. Il y a peu à dire, ton existence ne fait que commencer, tu comptes conquérir ton monde peu à peu, et jouir de ce titre de noblesse qui te met à l’abri du besoin, oh bien que tu n’aies pas besoin de ça, il suffit de regarder ton compte en banque…et la carte dorée que tu sors parfois de ton porte-monnaie pour t’acheter de nouveaux costumes de luxe, quand la mode te rattrape. |
Ven 13 Avr - 21:22 Charles Asmodeus d'Ozran
Messages : 713 Métier : Lieutenant de la milice - section IVC |
Félicitations, tu es VALIDÉ ! Personnage bien flippant, j'ai hâte de voir ce qu'il va devenir sur le forum ! Il a un aspect fascinant, bon jeu à toi avec lui Tu peux dès à présent remplir ou mettre à jour ta fiche de joueur, et ensuite, recenser ton personnage !
Ensuite, n'hésite pas si tu as envie à :
Amuse toi bien sur le forum |
Lun 16 Avr - 10:29 Alyosha Thaln
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