Stella Cinis
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Une vaste pandémie frappe l’humanité au cours de l’an 2000. Fléau divin, raté biologique ou simple régulation naturelle, l’origine du virus “Necrosis” est inconnue. Plus virulant que la peste bubonique, Necrosis tue en quelques jours ses hôtes, à grands renforts de fièvres, de vomissements et de nécroses des tissus sensibles (muqueuses) ainsi que de plaies. En quelques mois, la population mondiale chute de plus de moitié, ouvrant une immense brèche pour la race vampire, demeurée jusqu’alors tapie dans l’ombre.
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Wolfgang J. Von Hertling
Messages : 125
Métier : Général de la Milice
Admin
Wolfgang J. Von Hertling
Admin


Prénoms :Wolfgang Jürgen Edelweiss
Nom(s) : Von Hertling
Surnom(s) : Si vous pensiez l’appeler Wolfie mieux vaudrait vous abstenir. Edelweiss était son surnom au front, aujourd’hui il se fait appeler Monsieur Hertling ou Général Hertling. Ajouter le « Von » est un bon moyen de vous faire gagner des points.  
Âge : 585 ans, à l’aube de ses trente ans pour l’éternité.
Nationalité : Allemand
Orientation : NC
Métier : Général de la milice et propriétaire d’une écurie de chevaux de sang (Bad Tölz, Allemagne).
Autre : Wolfgang parle couramment anglais, français, danois et russe même s’il garde toujours un accent typique et une voix traînante. Il a aussi un faible pour les langues mortes et comprend bien le latin.
La moitié de son torse est balafrée par un éclat d’obus reçu sur le front qui a bien failli le rayer de la carte.

Il fume quotidiennement et sa consommation de tabac augmente avec la contrariété.

Il porte en permanence des gants lorsqu’il travaille.


Wolfgang Jürgen Edelweiss  Von Hertling



Le Général Von Hertling est la main armée du système en place. L’inflexibilité de cet homme a fait sa réputation parmi les siens et il est de ceux qui considèrent les mortels comme un bétail indispensable à la survie de son espèce. Sa longue existence a achevé de le convaincre que les hommes étaient incapable de survivre par eux-mêmes et qu’il était essentiel pour les vampires de s’en assurer à leur place.






Nick OC de CKT Cave



Description mentale



Le Général Hertling a été soldat toute sa vie et il porte encore les stigmates de la guerre à laquelle il a pris part, autant physiquement que mentalement. Nul ne sait s’il est capable de se regarder en face parce qu’il est totalement dépourvu de remords ou s’il a simplement rejeté en bloc la responsabilité de ses actes sur ses maréchaux. Quoiqu’il en soit, parler de cette époque ne lui pose aucun problème. Si cela peut lui permettre d’asseoir un peu plus son statut, Wolfgang n’hésitera pas à raconter quelques détails sordides, un sourire délicat retroussant sa lèvre. Il n’a nullement honte d’avoir œuvré pour le troisième Reich et son pays natal occupe une place toute particulière dans son cœur.

Il accorde une grande importance aux ordres, à la hiérarchie et au respect que l’on doit à son n+1. En particulier quand le n+1 n’est autre que lui-même. L’insubordination et la médiocrité n’ont pas leur place parmi ses troupes et s’il doit remonter des bretelles pour le faire rentrer dans la cervelle de ses éléments il ne s’en privera pas. De manière générale, Wolfgang est dépourvu d’états d’âme et c’est particulièrement vrai dans le cadre de son travail de général. Une fois les tests physiques et écrits réussis, les nouvelles recrues passent toutes dans son bureau et n’en ressortent qu’au bout d’un long et fastidieux entretien au cours duquel le capitaine se forge une idée précise des capacités de chacun de ses hommes.

Il gère la milice comme un bataillon militaire en temps de guerre et en dépit de son passif crépusculaire Wolfgang se sait et se sent responsables de la vie de ses officiers. S’il déteste tant les erreurs et les étourderies c’est parce qu’elles mettent en danger le groupe entier et par extension la sécurité de Copenhague et de ses habitants, ce qu’il ne saurait tolérer.

Sa bienveillance s’arrête néanmoins là et ne s’étend jamais aux mortels. Une vie entière de propagande nazie et d’élitisme raciale ne s’efface pas en un jour et il ne considère les humains que comme un cheptel d’animaux bons à la survie des siens. Peu lui importe qu’ils soient doués de sentiments, d’envies ou de rêves. La place d’un humain est à la banque de sang ou attaché dans l’appartement de son maître, prêt à le servir. Qu’on puisse s’enticher de ce genre de créature lui est totalement incompréhensible, pour lui c’est ni plus ni moins qu’une forme de zoophilie malsaine... partant de là son opinion sur les hybrides de salon ne fait plus aucun doute.

Ceux de combat trouvent toutefois grâce à ses yeux car il ne peut ignorer la beauté d’une arme performante lorsqu’il en voit une. C’est pourquoi, il lui arrive, lorsqu’un jeune phénomène attire son attention, de l’acheter et de le garder à ses côtés durant quelques années pour en faire une machine à tuer digne de confiance. Ceci fait la bête est revendue, en général à ses hommes qui l’utilisent à leur tour en mission.

En dehors de ce cas particulier Wolfgang ne s’encombre pas d’un esclave qu’il lui faudra nourrir et dont il devra s’occuper. La moindre erreur le met dans des colères froides terrifiantes, une perte de maîtrise qui lui fait horreur.

Il se contente donc de poches de sang et d’humains qu’il loue de temps à autre quand la solitude se fait trop sentir, ce qui arrive de plus en plus souvent avec le poids des années. Il apprécie la bonne compagnie et sait reconnaître un humain bien éduqué lorsqu’il en rencontre un même si cela reste rare. Il est fréquent de le croiser dans des vernissages ou des soirées mondaines qui n’accueillent que le gratin de la société vampirique. Parfois, le Général se laisse même entraîner par ses troupes dans un bar quelconque. Dans ces moments-là Wolfgang oublie les horreurs de la guerre, autant celles qu’il a commises que subies, ainsi que le poids de ses responsabilités. Son visage se détend et si on lui en laisse l’occasion il joue et chante de bon cœur quelques vieilles chansons imprimées dans sa mémoire.



Description physique



• 187 cm
• 85 kg de musculature sèche
• châtain  
• yeux bleus
• Costume et chaussures italiennes
• Cicatrice granuleuse de la hanche à la mâchoire
• Constamment armé, d’un flingue et d’une clope

Un pas rapide, la démarche assurée d’un homme qui n’a peur de rien. La terre qu’il foule du pied lui appartient, elle se soumet à sa volonté et à ses désirs tandis qu’il la conquiert. Wolfgang a l’œil vif et perçant de celui à qui rien n’échappe même s’il n’en pipe mot, sa bouche étroite continuellement pliée en un rictus sardonique. Ses mots caressent d’une voix mielleuse pour mieux prendre au piège lorsqu’il mène un interrogatoire et le bleu glacé de ses yeux ne laissent jamais filtrer ce qu’il pense réellement.

Le visage est indéniablement masculin bien que fin, supporté par des pommettes hautes et une mâchoire carrée qui souligne l’héritage noble de sa famille. Pâle de peau, lorsqu’il était encore humain Wolfgang était très souvent victime de cernes violacées qui réapparaissent désormais lorsque la soif et la fatigue se font sentir.

D’un geste habile qui dénote de l’habitude, il pince entre l’index et le pouce la pointe de ses gants et les retire. Le cuir retombe dans le deuxième tiroir de son bureau et il soupire de satisfaction. Ses grandes mains se croisent au dessus du dossier qu’il parcourt du regard. Des mains qui ont tué des milliers de fois et torturé par centaines. Elles sont anguleuses et bien entretenues, capables de la pire brutalité, elles savent aussi agir avec finesse quand la situation l’exige. Sa plume est toujours impeccable, emprunte des belles lettres d’un temps désormais révolu mais dont il refuse de se séparer. Ses courriers, toujours manuscrits, sont exempts de rature et d’erreur, noir sur blanc, les mots défilent tirés à quatre épingles, à son image.

Wolfgang ne se montre jamais sans un costume impeccablement taillé dont la coupe tombera parfaitement sur sa silhouette élancée, façonnée par un entraînement militaire strict auquel il s’adonne toujours en dépit de son immortalité. Il privilégie les cols qui se portent hauts, raidis à l’amidon et qui dissimulent au mieux la terrible cicatrice qui a failli lui couter la vie et qui traverse son corps de la hanche jusqu’à l’os de la mâchoire où elle demeure visible.  

Dans son veston il plie avec soin un carré de soie assorti à sa cravate et dans sa poche il coince une montre à gousset en argent. Le métal honni lui chauffe le bout des doigts et lui rappelle sans cesse que le temps des uns et des autres n’est pas à prendre à la légère, en particulier le sien. Rien ne le met dans de plus mauvaises dispositions que de devoir attendre et personne n’aime mettre le Général Von Hertling dans de mauvaises dispositions.

Il n’hausse pourtant jamais la voix, ne prononce jamais un mot plus haut que l’autre. Et ce parce qu’il n’en a aucunement besoin, sa réputation n’est plus à faire même s’il n’hésite pas à réaffirmer son autorité dès que la moindre once d’insubordination se fait sentir. Wolfgang n’a jamais toléré l’indiscipline et ce n’est pas à cinq-cent quatre-vingt cinq ans que son inflexibilité va s’amenuiser, bien au contraire. Toutefois, avec les années sa notoriété va grandissante et lui évite de plus en plus ces moments ô combien déplaisants où il doit perdre un temps précieux avec des gens qui n’en valent définitivement pas la peine.


Histoire


Chronologie ♥️:

Obscurent eum tenebrae venire

Wolfgang est vieux. À l’image de ces châteaux anciens, aux façades restaurées et aux jardins bien entretenus, son histoire est emplie de mémoires tortueuses. Un dédale de souvenirs dans lequel il se perd parfois et s’oublie souvent. Les belles boiseries masquent les lézardes qui serpentent ses murs, les tapis colorés cachent des crevasses béantes qui le font toujours trébucher. Le poids des années est lourd sur des fondations qu’il pense de fer et d’acier mais qui sont peu à peu rongées par les siècles.

Tout débute en 1915 au fin fond de la Bavière Allemande, dans un domaine immense que possèdent les Hertling depuis des générations. Dieter, l’héritier de l’empire familiale, et sa femme, Kirsten donnent naissance à un petit marmot brun qui sera leur seule descendance. C’est une famille au train de vie élevé, permis par Dieter qui s’applique à faire fructifier l’écurie de ses ancêtres. C’est un petit homme ventru au front qui dégarnit vite mais à qui ses yeux rieurs et sa bonhommie confèrent une certaine sympathie. Kirsten, de quelques années plus jeune, est une belle bourgeoise. Elle aime organiser des soirées mondaines dans le grand salon et y accueillir les riches propriétaires de la région. C’est une famille assez banale qui se plait à se faire appeler Von Hertling du fait de ses terres et de sa généalogie qui prend racine dans la maison de Hohenzollern. Personne n’alla jamais vérifier, Dieter et Kirsten sont si charmants qu’on les appelle Monsieur et Madame Von Hertling pourvu qu’on soit invité à leurs soirées.

La guerre les touche peu, l’argent et les accointances permettent à la légère tachycardie de Dieter de lui échapper le front. La plupart de ses chevaux sont toutefois réquisitionnés et les dîners pompeux, arrêtés. Wolfgang grandit dans ce contexte de première guerre mondiale auquel il n’est jamais directement confronté mais qui, au final, dictera le reste de sa vie et de son éternité après elle.

Per aspera ad astra

Wolfgang est enrôlé jeune, dès ses quatorze ans il intègre les Jeunesses Hitlériennes. Il y trouve la reconnaissance et la discipline qui lui avaient toujours manqué et son père y voit un bon moyen d’en faire un homme. Il intègre rapidement les valeurs qui sont alors prônées par Axmann et la supériorité aryenne lui apparaît comme une évidence, tout comme, plus tard celles des vampires ne fera aucun doute  à ses yeux.

Pour récupérer les territoires qui lui ont été injustement pris, l’Allemagne doit être forte. Il est cette force. Ceux qui sont sa faiblesse ne sont rien d’autre que des impuretés dont il est nécessaire de se débarrasser. C’est ainsi, pour le bien de la Nation.

Son amitié d’enfance avec un jeune Tzigane ne résiste pas à ses nouveaux idéaux. La douceur de sa peau hâlée et l’éclat de ses yeux émeraudes ne suffisent pas, les quelques baisers échangés sont une raison supplémentaire d’y mettre un terme. Vedel est sa faiblesse. Comme toutes les faiblesses : il doit s’en défaire. Le sacrifice est grand, douloureux même, mais nécessaire.

Wolfgang a soif, soif de pouvoir, soif de responsabilités, il a la compétition et la sournoiserie dans le sang. C’est un élève modèle. Ses résultats sont excellents et il se voit proposer d’intégrer la division SS Leibstandarte Adolf Hitler, première division blindée de la Waffen SS. Contre toute attente il refuse, il ne se voit pas servir le Führer ailleurs que dans un avion, depuis le ciel. Ses aptitudes et sa vue lui permettent d’intégrer l’une des rares formations aéronautiques de la Wehrmacht, dispensée secrètement. En 1936 il participe à l’intervention des troupes allemandes en Espagne, pendant la guerre civile, en tant que pilote de chasse, et s’illustre au combat. Dès 1939, il est envoyé en Pologne où son escadrille permet la victoire écrasante de la Luftwaffe. Il écope du surnom Edelweiss après une soirée trop arrosée.

À bord de son appareil, Wolfgang est un véritable génie. On dit de lui que ses tirs ne ratent jamais leur cible et il s’adonne à des figures aussi spectaculaires que dangereuses. Malgré tout, ses supérieurs s’en méfient, Hertling leur a été recommandé par Josef Dietrich. S’il ne portent pas l’uniforme de la Waffen SS... il est néanmoins sorti de ses entrailles et les rivalités entre les deux corps d’armée sont grandes.

Malgré tout, il gravit les échelons et assoit sa supériorité aussi bien sur terre que dans le ciel. En 1942 il obtient le grade tant convoité de General der Jagdflieger et prend la tête des chasseurs allemands. Il reçoit la Croix de chevalier de la croix de fer avec feuilles de chêne, glaives et brillants de la main d’Hitler. Une décoration honorifique qu’il garde désormais toujours sur lui afin de ne jamais oublier la faiblesse des êtres humains.

Vae victis
Il se tient droit et fringant dans son uniforme noir flambant neuf, fier comme un paon alors qu’on lui coud, enfin, ses nouvelles insignes de Generalleutnant. Wolfgang rêve déjà des épaulettes de général de division. L’opération Weserübung et sa réussite ont marqué un tournant dans sa carrière et il compte bien poursuivre sur sa lancée, pour ses idéaux, pour l’Allemagne, son beau pays trop souvent méprisé.

Les responsabilités qui lui incombent ne l’effraient pas. Il est les accueille avec une détermination farouche. Quand l’un de ses soldats lui ramènent Vedel, pris en train de saboter l’un de ses avions, il n’hésite pas avant de le faire envoyer à l’Amt A. Le département responsable des adversaires du nazisme. Au mieux, c’est la castration qui l’attend, les roms ne doivent pas souiller la pureté du sang allemand en se reproduisant. Au pire, c’est la mort ou les camps. Wolfgang ne sourcille pas mais c’est une brèche béante qui s’ouvre en lui. Son unique regret est peut-être de ne pas avoir embrassé cet homme une dernière fois.

Memento quia pulvis es

Le parfum putride de la mort le caresse, à moins que ça ne soit que l’odeur pestilentielle qui émane de ses pansements. Une plaie immonde lui barre la poitrine, de la hanche à la mâchoire. Son corps n’est qu’une masse douloureuse, pourrie, gangrénée. Le 30 avril 1945 Hitler se suicide d’une balle dans la tête pour Wolfgang c’est le monde qui s’écroule. Il n’a plus la force de se battre alors que son idéal vient de mettre fin à ses jours, d’abandonner, de l’abandonner lui.

Une caresse dessine les traits crispés de son visage. C’est doux. Sa propre puanteur s’efface, c’est un parfum de lavande. Son parfum.

« Je t’ai vu combattre. C’est beau, la haine dans tes yeux... Je vais t’offrir une cause et les moyens de la chérir, Wolfgang. Une cause qui ne t’abandonnera jamais. »

Il se raccroche à cette voix, cette voix morte, désincarnée qui lui susurre des mots doux, lui promet que tout ça n’a pas été vain. À son réveil il n’est plus vraiment un homme. Il est version améliorée d’un homme. Plus fort, plus rapide. Une créature sur laquelle le temps n’a plus d’emprise et à qui la mort a tourné le dos. Wolfgang ne gardera de sa vie humaine que des cicatrices et le poids de ses souvenirs. Il ne passera en compagnie d’Alaric Strauss, son père et maître, que quelques mois. À l’aube du réveillon 1945, alors que Wolfgang n’est encore qu’un jeune vampire déséquilibré, il trouve la mort dans des circonstances jamais élucidés. C’est un déchirement pour le nouveau né mais chance pour lui il ne demeure pas seul très longtemps. Jürgen Ludvig Von Holstein, sire de son créateur le rejoint en Allemagne.

Alea jacta est

Pendant plus d’un siècle il vit et voyage aux côté du vampire millénaire.  Il l’éduque, l’élève, fait de lui un vampire accompli. Lui-même est un passionné d’art et d’histoire, une vieille créature convaincue que l’avenir appartient aux siens et pas hommes qui ne sont bons qu’à s’autodétruire, instables et imparfaits. Il formate Wolfgang à son image et doit avouer qu’Hitler a déjà bien préparé le terrain.

Quand la grande aiguille se fige sur le  nouveau millénaire et que les premiers cas d’une maladie jusqu’alors inconnue se multiplient, Wolfgang, aux côtés de celui qui est devenu son grand-père, est parmi les premiers à peser pour une intervention vampirique. Le bilan, plus lourd chaque semaine, force les vampires récalcitrants à sortir de l’ombre et donne aux autres une occasion immanquable.

À Copenhague où les premiers affrontements éclatent. Wolfgang n’a rien perdu de sa discipline militaire retourne rapidement les armes humaines contre ses possesseurs. Sa violence ne connait pas de limite et quand il tue, quand le sang lui éclabousse le visage et les mains, il est persuadé de faire le bien.  Le renversement vampirique est rapide, fulgurant : les Hommes n’ont aucune chance. Au côté de son mentor, Wolfgang dresse les premières pierres de ce qui deviendra la société vampirique moderne telle qu’on la connait aujourd’hui. Jürgen reconnaît légalement Wolfgang comme son fils et demeure à Copenhague où il endosse le prestigieux rôle de Général. Son pupille retourne en Allemagne faire ses armes.  À Bad Tölz  Wolfgang récupère ce qui lui revient de droit : le domaine de ses ancêtres.

Le Haras fleurit à nouveau, ses cavaliers et ses montures s’illustrent de part le monde et sa carrière est au beau fixe. Le travail qu’il perpétue avec des hybrides de combats, dressés pour et par les miliciens est de plus en plus reconnu. Il gravit les échelons et voyage régulièrement jusqu’au Danemark. La Fédération et l’Allemagne tissent des rapports cordiaux qui permettent à Wolfgang de profiter du vampire qui l’a éduqué.  

En 497 ap. SV quand on lui annonce la mort de Jürgen, le monde de Wolfgang s’effondre pour la deuxième fois. La perte est presque plus douloureuse que celle d’Alaric, seul pour de bon il lui faut presque six mois pour donner suites aux appels répétés de l’Assemblée et succéder à son icone en tant que Général.

Jeu 3 Mai - 1:06 Wolfgang J. Von Hertling
Anonymous
Invité
Invité

Félicitations, tu es VALIDÉ par Dragan et moi-même ♥️ !


Aaaaah mon Capitaine préféré ! Que dire si ce n'est que j'ai adoré re-re-relire ta fiche, et que j'ai salivé comme une malade devant chaque petit micro ajout que tu y as apporté depuis sa dernière version ! J'ai toujours un énorme pincement au coeur à chaque fois qu'on évoque Vdel, mais cette fois-ci j'en ai eu un deuxième et un troisième lorsque le créateur et le papi de Wolf sont morts ;_;
Allez, file vite poster plein de petits rps, j'ai un gros louloup qui n'en peux plus de ronger son frein !

Tu peux dès à présent remplir ou mettre à jour ta fiche de joueur, et ensuite, recenser ton personnage !


Ensuite, n'hésite pas si tu as envie à :



Amuse toi bien sur le forum ♥️

Jeu 3 Mai - 15:11 Invité
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